samedi 20 novembre 2010

Technicien fenêtre - 2

Mediaffiliation

Guillaume invite notre technicien à dîner

A la suite de la séance de prise de dimensions quelques peu tumultueuse avec le technicien, Guillaume l’a rappelé pour le remercier d’avoir suivi les consignes, et l’inviter à dîner.

L’idée de cette soirée m’a rendu nerveuse et excitée toute la journée. Le repas n’étant pas une finalité en soi, j’ai opté pour une moussaka, un plat un peu exotique au four qui permet d’assurer une présence maximale dans la salle à manger et non en cuisine.

Concernant ma tenue, Guillaume a exigé que je porte des bas avec porte jarretelles et une longue robe de soirée noire avec une fente sur chaque côté remontant haut sur les hanches. Jolie en position statique mais il est impossible, dès lors que l’on marche, de ne pas laisser entrevoir largement les lisières des bas. Il m’a également demandé de porter un ensemble string, soutien gorge noir. Guillaume souhaitait que mon exhibition soit parfaite et que je me sente offerte à deux beaux males, la manière dont il m’a demandé une épilation totale de mon sexe était très explicite.

J’ai donc cherché une esthéticienne, qui pratiquait ce genre de services, sur les pages jaunes d’internet et n’ai pas voulu aller chez mon esthéticienne attitrée. J’ai trouvé un institut, à une quinzaine de kilomètre de chez nous, ce qui est suffisant en région parisienne pour éviter de rencontrer des connaissances. Nina, une jolie asiatique d’une trentaine d’année a procédé à l’épilation. C’était certes un peu douloureux, mais le résultat est à la hauteur des attentes de Guillaume et je dois avouer que les doigts de Nina, travaillant autour de mon sexe, ne m’ont pas déplus.

J’étais donc prête pour le grand soir. Nous avons commencé très naturellement par un apéritif autour de la table basse du salon. Assise sur le bord d’un fauteuil pour mieux laisser tomber un pan de ma robe et découvrir la majeure partie de ma jambe, je n’hésitais pas à prendre des poses explicites. L’alcool et l’ambiance aidant, la conversation est rapidement devenue grivoise. Sébastien, nous a précisé qu’il n’était pas marié et qu’il multipliait plutôt les aventures sans lendemain. Il a aussi avoué avoir été très surpris par mon audace et s’être masturbé pendant plusieurs jours après notre rencontre … et depuis que nous l’avons invité..

Lorsque nous sommes passés à table pour le dîner, le sexe était notre principal sujet de discussion. Sébastien continuait à se dévoiler et il alla jusqu’à nous faire part de son expérience homosexuelle, précisant qu’elle ne lui avait pas déplu mais qu’il préférait quand même les femmes, surtout lorsqu’elles avaient ma plastique. Bref il me faisait une drague pas possible, et si Guillaume l’avait autorisé, ses mains auraient été plus audacieuses. Je ne sais pas si ces deux là s’étaient entendus auparavant, mais Guillaume semblait bien maître de la situation et Sébastien le regardait souvent comme pour attendre le signal pour se jeter sur moi.

Le fromage passé, Guillaume proposa de faire une petite pause récréative et je compris que cela sonnait l’heure de mon glas. « Et si nous faisions un petit jeu ? Sandra connaît nos deux sexes, n’est ce pas… donc je propose qu’on lui bande les yeux, qu’elle se mette à genoux, nous lui présentons nos sexes, et elle ne doit reconnaître son propriétaire qu’avec sa bouche »
« D’accord !! » dit Sébastien, avec enthousiasme, sans me laisser le temps de donner mon avis.

Guillaume pris une serviette de table, qu’il noua fermement autour de mes yeux, et en s’assurant que je pouvais rien voir il me plaça à genoux d’un geste doux mais précis. J’entendis rapidement leurs braguettes descendrent et les pantalons se baisser. Pas un murmure, les deux hommes devaient se faire des signes, pour savoir qui commencerait. Après une quinzaine de secondes, je sentis un sexe frôler mes lèvres ; J’ouvris ma bouche, puis avançais pour prendre ce premier sexe présenté. Je le gardais dans ma bouche, au début sans mouvement, ma langue s’enroulait autour de son sexe, dans un sens puis dans l’autre. Il grossissait mais ne bandait pas encore complètement. Quelques mouvements d’allers-retours me permirent de connaître la vraie taille en pleine érection. Il me semblait ne pas reconnaître celui de Guillaume, mais difficile de l’affirmer. Je me dis également que mon coquin de mari a dû proposer la primeur de cette soirée à Sébastien. Ce sexe se retira de ma bouche et après quelques secondes, Guillaume me demanda :
- Alors quel était l’heureux propriétaire de ce sexe ?
- Euh… Je pense que c’était le sexe de Sébastien.
- … Et bien bravo, fit Guillaume, l’air impressionné.
Mon bandeau me fut retiré, et je reçus les félicitations des deux compères. Ne s’avouant pas vaincu, Guillaume me proposa un autre défi.

- Bravo pour cette première épreuve. Pour la deuxième épreuve, tu seras livrée à toi-même, nous ne serons que des spectateurs particulièrement intéressés par ce que tu vas réaliser. Je te confie ce vibromasseur que tu connais bien. Tu devras retirer ta robe et te faire jouir en sous-vêtement au bout de 5 minutes, à plus ou moins 15 secondes montre en mains.

Excitée par la première épreuve je ne fis aucune difficulté pour accomplir la seconde. J’enlevais ma robe sous les yeux gourmands de Sébastien et de Guillaume pour ne garder que mon ensemble string soutien gorge avec porte jarretelles et bas.

- Voilà tu as 5 minutes…Top

Je commençais par caresser mes tétons par-dessus mon soutien gorge, et sans vibration avant de passer lentement sous la dentelle noire. Mon objectif était de gagner du temps car je sentais que si les choses s’accéléraient je pouvais perdre la maîtrise de mon corps, et donc le jeu. Je descendais doucement vers mon nombril et tout en regardant ces deux mâles à mes pieds je fis tourner ma langue autour de mes lèvres d’une façon très sensuelle. Ils étaient tout à moi. Ma mains descendit caresser mon clitoris et mon sexe au dessus de mon string et je me mis à quatre pattes pour leur offrir une vue imprenable sur mes fesses, en faisant glisser doucement le vibromasseur vers mon anus ; Je titillais la petite ficelle pour la dégager sur le côté. Cette exhibition commençait à me chauffer sérieusement.

C’est à ce moment que Guillaume intervint :
- Bien, maintenant met en marche le vibreur

Je le regardais d’un œil coquin, et me dis tant pis pour moi.
- Bon d’accord, mais je recommence depuis le début.

Je repris donc, ma position initiale, recommençant mon ouvrage en partant des tétons. Cette fois par contre, j’étais moins maîtresse de la situation, car depuis mes tétons je ressentais des vibrations jusqu’à mon entrejambe. Ce dernier appelait à lui, de toutes ces forces, ces douces vibrations, ma main obéissait, sans me demander mon avis. J’allais me faire du bien, tout le reste n’avait plus d’importance.
Tant pis si je perds, de toute façon c’est ce qu’ils veulent, et je comptais bien leur en donner pour leur argent. Je glisse le vibromasseur sous le tissu de mon string, caressant mon clitoris, pour faire pénétrer 2 cm de ce mécanisme du diable dans mon vagin, et là « L’Extase », je ferme les yeux, me crispe. Cela dure un certain temps, peut-être une trentaine de seconde avant que je ne remette les pieds sur terre. J’arrête le vibreur, et je rouvre les yeux. Je vois Guillaume et Sébastien, un peu éberlué, en admiration devant ma prestation.

C’est Guillaume qui le premier reprends la parole.

- Et bien si tu n’as pas l’oscar de la meilleure actrice, tu as déjà les félicitations du jury… Malheureusement, tu as perdu, Eh oui 4’30’’, c’est un beau score pour une première fois. Je propose que nous reprenions un peu nos esprits et des forces. En dessert, je vous ai préparé des bananes flambées, j’espère que tout le monde aime ça.

Guillaume m’assiste quelques fois dans la préparation des dîners, et sa partie, c’est les desserts. Nous reprenons nos places respectives, je me requinque un peu, mais ces deux mâles n’ont pas du tout l’air de s’être calmé. Au contraire je lis dans leur yeux, une furieuse envie de se jeter sur moi. Guillaume part en cuisine, s’occuper du dessert que nous dégustons à son retour. Evidemment ces deux mâles en rut m’observe déguster ma banane comme si c’était leur sexe qui s’engouffrait dans ma bouche et je les soupçonne de bander fort. Une fois le dessert englouti, c’est encore Guillaume qui attaque :

- Bon, et si nous passions aux choses sérieuses, car je pense que toutes ces amuse-bouches, nous ont mis sérieusement en appétit, n’est-ce pas Sébastien ?
- Ok que oui !!
- Alors enlève le zip de la robe de Sandra

Sébastien s’approcha de moi, se plaça derrière mon dos, et descendit doucement le zip de ma robe. Son ongle griffant ma colonne vertébrale au passage, ce qui me fit frissonner, jusque dans mes tétons. Le zip, s’arrêta à sa butée, juste en haut de mes fesses, mais ses doigts ne s’arrêtèrent pas en si bon chemin, et continuèrent leur descente, tout en restant au-dessus de ma robe. Il remonta ses mains au niveau de mes épaules, pour m’enlever ma robe. Mes bras glissèrent dans mes manches, il prit ma robe au niveau des épaules et la fit descendre en passant par mes seins, dont là encore les ongles de ses pouces griffèrent mes tétons. Une fois ma robe à mes pieds je fis un pas en avant, pour la dégager.

Guillaume reprit :
- Enlève lui son soutien-gorge et son string !

A nouveau, Sébastien se plaça derrière moi, dégrafa sensuellement mon soutien-gorge, me fit passer mes bras dans les bretelles, et libéra mes seins, tout en les frôlant avec ses pouces. Pour le string il attaqua plus franchement, il plaça ses mains sur mon ventre et fit descendre ses mains dans mon string. C’est là qu’il constata mon épilation totale.

- Hum… C’est bien déboisé par ici. Superbe !!
Il laissa sa main gauche devant, en caressant légèrement mon clitoris et plaça sa main droite au-dessus des mes fesses, glissa son majeur dans le creux de mes fesses, et descendit mon string.

- Sandra, tu vas t’allonger sur la table basse, sur le dos, nous allons finir notre dessert, Sébastien et moi, me dit Guillaume.

J’enlevai ce qui se trouvait sur la table basse. Guillaume s’éclipsa dans la cuisine, pour en revenir avec un pot de Nutella. Il en prit une cuillérée et en mis sur chacun de mes tétons. L’objectif étant bien sûr de tout enlever. Guillaume, s’occupa du gauche, Sébastien du droit. Le problème du Nutella est qu’il accroche bien, et que pour tout enlever, il faut une succion importante, ce qui semblait exciter mes deux garnements. En tout cas moi, je sortis de cet exercice particulièrement excitée et ce fut à mon tour d’exprimer mes envies. Je leur demandais de se mettre cote à cote et de baisser leurs pantalons et leurs slips. Guillaume à ma gauche, Sébastien à ma droite, mes mains caressèrent leurs fesses tandis que ma bouche s’occupait d’abord du sexe de Guillaume. Ma main droite, passa des fesses de Sébastien, à son sexe avant d’être remplacé par ma bouche, qui elle-même fut remplacé par ma main gauche.

Après quelques allers-retours entre les sexes de Sébastien et de Guillaume, ce dernier décida que mon tour était arrivé. Il me fit lever et écarter mes jambes avant de reprendre le pot de Nutella pour m’en badigeonner le sexe et l’anus. Guillaume se plaça naturellement à l’avant et Sébastien prit la place laissée vacante à l’arrière, ce qui apparemment ne lui déplut pas. Je fus nettoyée avec délice dans mes moindres replis et Guillaume s’allongea sur le tapis, le sexe en érection avant de me demander de venir sur lui.

Je mis mes genoux au niveau de ses côtes et pris son sexe pour l’enfoncer en moi. Les premiers allers-retours commençaient à me faire de plus en plus d’effet et je savais pertinemment ce que voulait Guillaume :
- Sébastien, vient me prendre par derrière, entièrement

Il ne se fit pas prier et plaça son sexe face à mon anus avant de doucement me pénétrer. Quel pied d’avoir deux sexes en soi, de se sentir remplie de la sorte.

- Prenez-moi bien à fond, je veux jouir en vous sentant tous les deux bien en moi.

Ils ne se le firent pas dire deux fois et, vous pouvez me croire, ne s’économisèrent pas pour me prendre ensemble à grand coup de va et vient. Guillaume jaillit le premier en moi, ce qui me fit partir en entraînant avec moi Sébastien qui ferma la marche.

Après être restés quelques temps avachis, n’en pouvant plus, nous prîmes un bain à trois dans notre baignoire balnéo. Je leur caressais tendrement leurs sexes, qui reprenaient une certaine vigueur. Petit à petit, leurs sexes prirent à nouveau de belles proportions, tout comme mon envie.

Lorsque nous nous séparâmes de Sébastien, vers minuit, son sexe n’avait plus de secret pour moi et il eut l’assurance d’être bientôt rappelé.
Mediaffiliation

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