samedi 20 novembre 2010

Ma fabuleuse première fois




C'est l'histoire de la première fois de Marc, avec sa copine, Julie.

Je dois dire que ma première fois a été un peu tardive, selon moi… En effet, j'avais 17 ans, mais c'est surtout dû au fait que je reste encore chez mes parents.... Elle, pour sa part, avait 18 ans. Cela faisait quelques mois que l'on était ensemble. Durant ces quelques mois, le plus loin que l'on avait été, c'était la masturbation, c'est-à-dire qu'elle me masturbait sous mes pantalons, pendant que moi, je faisais des vas et viens avec mes doigts sur et dans son sexe, sous ses vêtements. Bref, c'était durant la fin de semaine du travail. On avait été faire du canot sur la Rivière du Nord avec mes parents. À un moment donné, le canot s'est renversé et mon père, ma chérie et moi sommes tous tombés à l'eau. Sur le coup, ce fut rafraichissant, mais le problème, c'est que nous n'avions pas de vêtements de rechange. Alors, lorsque nous avons terminé notre randonnée, nous sommes allés chez moi pour que je puisse me changer. Je suis allé dans ma chambre et avant que je ferme la porte pour me changer, Julie s'est faufilée à l'intérieur. Alors que j'allais me déshabiller, elle s'est approchée de moi et elle m'a embrassé. Elle ne m'a pas embrassé tendrement, comme elle le faisait d'habitude, mais fougueusement. C'est-à-dire qu'elle m'a pris par le cou et qu'elle m'a vigoureusement approché la tête de la sienne. Elle a pris possession de mes lèvres. Son baiser fut si fougueux que dès que ses lèvres touchèrent les miennes, j'eus une soudaine envie d'elle. Une envie de la prendre en cet instant, sans même lui enlever ses vêtements, juste descendre ses pantalons et son string. Sans autre forme de préliminaire, juste lui faire l'amour passionnément. Mais, à cet instant précis, j'ai entendu la voix de mon père de l'autre côté de la porte :

- « Éric, est-ce que l'on peut t'emprunter un film ? »

Comme mes films sont sur mon bureau, dans ma chambre, cela veut dire qu'il faut que je le laisse entrer… Alors, je lui ai répondu, d'une voix rauque :

- « Deux secondes ! »

J'ai commencé à me déshabiller, sous le regard envieux de Julie. Lorsque j'en étais rendu à enlever mes pantalons, elle s'est approchée de moi et m'a susurré à l'oreille :

- « Laisse-moi t'aider… »

C'est ce que je fis, et je ne le regrettai pas. Loin de là ! Elle a approché son visage du mien, et elle a commencé à m'embrasser. Pendant qu'elle m'embrassait, ses mains, plus bas, au niveau de mon bas ventre, s'affairaient à retirer mes pantalons mouillés. Lorsqu'elle me les a retirés, elle a glissé sa main sous mon boxer. Elle a effleuré mon engin, assez pour voir que j'avais vraiment envie d'elle, mais elle l'a retiré quelques secondes après. Tout en m'embrassant dans le cou, elle me chuchota :

- « Si tu savais à quel point j'ai envie de toi… »

Puis, elle recula et me regarda enlever mon boxer et me rhabiller avec des vêtements secs. Lorsque nous sommes sortis de ma chambre, mes parents y ont été pour choisir leur film. Julie m'a regardé et j'ai vu quelque chose de nouveau dans son regard, une sorte d'envie nouvelle… Elle m'a dit :

- « Est-ce que l'on peut aller chez moi, j'aimerais bien me changer, moi aussi… »
- « Bien entendu. », lui ai-je répondu.

C'est alors que nous sommes allés en voiture chez elle. Chemin faisant, elle dit quelque chose :

- « Je dois t'avouer un truc… »
- « Ah, oui, c'est quoi? », lui ai-je demandé.
- « Tout à l'heure, lorsque tu n'étais qu'habillé d'un boxer blanc moulant et mouillé… »
- « Oui? »
- « Et bien, je t'ai trouvé vraiment séduisant et… »
- « Et ? »
- « Et bien, j'ai vraiment envie de toi… »

Je l'ai regardé en souriant et je lui ai susurré à l'oreille que moi aussi j'avais très envie d'elle.

Lorsque nous sommes arrivés chez elle, il n'y avait personne… Je dois dire qu'à ce stade-là, je bandais dur, juste en pensant à ce que j'aimerais lui faire… Nous nous sommes dirigés vers sa chambre et lorsque nous sommes entrés, elle a fermé la porte. Je lui ai alors demandé pourquoi elle fermait la porte si on était seul, mais avant même que j'aie fini ma question, elle se jeta sur moi, pour m'embrasser. Elle m'embrassa sur les lèvres, avant de dériver vers mon cou. J'avais les mains sur les hanches de Julie, pendant qu'elle continuait à m'embrasser dans le cou et sur les lèvres. Je décidai donc de passer mes mains dans le dos de Julie. J'ai alors décidé de prendre les devants : j'ai arrêté ma chérie et j'ai commencé à embrasser Julie. Je lui ai embrassé les lèvres, pour ensuite faire comme elle, et dériver dans son cou. Pendant que je l'embrassais, avec mes mains je frottai doucement son dos. Après quelques secondes, je me suis décidé à lui enlever son chandail. Après lui avoir enlevé son chandail, j'ai continué à l'embrasser, mais je descendais de plus en plus bas, jusqu'à ses seins, encore couverts par son joli soutien-gorge rouge. Alors, j'ai pris Julie et je l'ai couchée sur son lit, pour continuer à l'embrasser sur son ventre. Je la sentais qui frissonnait de plaisir et lorsque je la regardais, elle se mordait la lèvre inférieure, ce qu'elle fait tout le temps lorsqu'elle est excitée. J'embrassais son ventre et pour la titiller, des fois, je ne faisais qu'effleurer ses côtes avec mes lèvres et mes doigts. J'ai passé ma main, qui tremblait à cause de l'excitation, sur sa hanche et je l'ai monté jusqu'à son sein. Ensuite, j'ai fait la même chose avec mon autre main. Lorsque mes mains furent à la même place, de chaque côté de son corps, je la soulevai et lorsque nous visage furent à quelques centimètres l'un de l'autre, d'un même mouvement, nous nous sommes pris la tête et nous nous sommes embrassés, pendant que l'on s'embrassait fougueusement, mes mains ont été dans le dos de Julie et je lui ai dégrafé son soutien-gorge. Comme nos corps étaient assez proches l'un de l'autre, il resta suspendu un moment, et je me décidai de l'enlever au complet, afin de pouvoir voir sa jolie poitrine. Nous nous sommes embrassés encore pendant une à deux minutes et pendant ce temps, ma main alla sur son sein et je pus sentir son téton dur, elle en avait vraiment envie. Alors, pour ne plus la faire languir, je me décidai d'accélérer un peu : j'enlevai mon chandail et je lui enlevai son pantalon. Il ne lui restait plus que son joli string rouge en dentelle. Je l'ai couché sur le lit et je lui ai demandé de fermer ses yeux, ce qu'elle fit. J'embrassai son pied, sur chaque centimètre, ensuite, j'ai monté sur la jambe, je l'ai embrassée, tout en montant un peu à chaque baiser. Pendant que je l'embrassais, je passai ma main sur son autre jambe et sur sa peau, juste à côté de son string. Rendu à sa cuisse, j'ai sorti la langue pour la passer sur la peau à côté de sa culotte. Ma main n'était plus sur sa cuisse, elle était rendue sur son sein. Pendant que j'effleurais la proximité de sa féminité, je massais son sein doucement et tendrement. J'ai commencé à me rapprocher de son string et une faible odeur a chatouillé mes narines, l'odeur de son sexe. Il sentait si bon, j'en avais vraiment envie… C'est à ce moment je Julie se redressa et me dit :

- « Éric, fais-moi l'amour, s'il te plaît ! »

Je ne me le fis pas dire deux fois et c'est avec plaisir que je m'exécutai. J'ai enlevé les vêtements qu'il me restait et pendant que je le faisais, Julie a retiré son string. Nu, je me suis étendu à côté d'elle. Dès que je fus couché, Julie alla sur moi et commença des va et viens sur moi. Je sentais que mon sexe se durcirait de plus en plus, déjà qu'il l'était quand même assez… Le sexe de Julie toucha au mien et une montée d'adrénaline s'empara de moi, je la renversai et je la pénétrai, sans autre forme de préliminaire, dès que mon sexe fut en elle, elle gémit un peu.

- « Hummmm… Oui, c'est si bon! »

Je commençai alors mes vas-etvient en elle. Plus j'accélérais, plus elle gémissait. Je voyais son visage si joli en pleine expression de plaisir… Son ventre et sa poitrine montaient et redescendaient de plus en plus vite… Sa respiration devint saccadée. Je lui demandai d'aller sur moi et c'est ce qu'elle fit. Une fois sur moi, elle commença à bouger, mon Dieu que c'était bon ! Pendant qu'elle bougeait, j'ai glissé ma main sur son clito et j'ai commencé à la masturber. Plus elle gémissait, plus j'aimais cela et plus j'accélérais la vitesse de mes doigts. Je me suis assis et c'est à ce moment-là qu'elle jouit, pour la première fois.

- « Oh ouiiiii !!! C'est bon !! »

Néanmoins, elle continua ses vas et viens. Je l'ai renversé pour prendre le contrôle et je modifiais la vitesse de la pénétration, tantôt j'allais rapidement et tantôt j'allais tranquillement. Pendant que je lui faisais l'amour, elle gémissait, elle m'embrassait fougueusement et elle me serrait contre elle. C'était divin ! Alors, qu'elle m'embrassait fougueusement avec la langue, j'ai senti que j'allais venir et j'accélérai le rythme, elle commença à crier de plus belle. C'est accompagné de son cri de jouissance que je jouis.

Après, nous sommes allés prendre notre douche ensemble et elle me dit :

- « Maintenant tu es un homme… Il faudrait recommencer plus souvent ! »
- « Oui, c'était tellement bon ! »


Malaurie



Malaurie découvre la soumission.

Le salon

Malaurie n'eut pas à attendre Jean qui était à l'heure au rendez-vous. Comme toujours se dit Malaurie qui appréciait Jean. Dès qu'il l'a vit, Jean sort de l'auto et s'approche d'elle. Ils échangent un rapide baiser et Malaurie prend place à l'avant de l'auto après avoir rangé son sac de voyage sur la banquette arrière.
En plus de ses affaires de toilette et de maquillage, Malaurie a suivi les consignes de Jean en rangeant dans son sac ce qu'il lui avait demandé : une jupe noire à fermeture éclair, un chemisier légèrement transparent qu'elle avait choisi de couleur brun foncé, des bas collants, un soutien gorge et slip noirs, le tout de marque : Malaurie porte toujours des vêtements de marque. Selon les recommandations de Jean, elle avait pris soin de tailler la toison de son sexe en triangle allongé.
Le voyage par l'autoroute est rapide agréable ; ils échangèrent des banalités sans parler de l'objet de leur déplacement commun. Le soleil de cet après midi de fin d'automne chauffe l'habitacle. A l'entrée de la ville, Jean gare son auto et invite Malaurie à prendre une boisson dans un bar à proximité. Il commande 2 coupes de champagnes et dit en souriant à Malaurie que les bulles lui feront du bien, elles griseront son esprit.
Jean pose devant Malaurie une enveloppe en lui disant : « Vos 1000 euros, comme convenu ». Malaurie glisse l'enveloppe dans son sac. Elle envisage un instant de restituer l'enveloppe ; il serait plus sage d'abandonner ce projet fou, pense-t'elle. Il vaudrait mieux tout arrêter. Mais, son envie d'aller au bout est plus forte. Elle veut se prouver à elle même qu'elle en est capable. Malaurie sourit à Jean, boit lentement son verre et se lève.

Ils reprirent leur route en s'engageant dans un quartier cossu composé presque exclusivement de villas entourées de jardins. Les couleurs rousses de l'automne donnaient au paysage une atmosphère chaude. Malaurie se dit qu'elle avait bien choisie la couleur de son chemisier adaptée à ces couleurs brunâtres.

Jean gare son auto devant une maison dont l'architecture moderne plait à Malaurie ; cela augure bien de la suite, elle n'aurait pas aimée une vieille maison.
En entrant, Malaurie a l'impression que la maison est inoccupée ; elle n'entend aucun bruit. Malaurie pense qu'elle tombe dans un guet-apens organisé par Jean pour enfin la posséder. Elle n'a pas peur. Elle ne craint pas Jean et accepte à l'avance l'idée que Jean puisse lui faire l'amour. En montant l'escalier, Jean lui montre une porte du rez-de-chaussée et lui indique que c'est là, au salon, qu'elle devra se rendre lorsqu'elle sera préparée.
Il fait entrer Malaurie dans la chambre, pose son sac sur le lit et lui confirme en refermant la porte qu'il l'attend au salon.
La chambre mise à disposition de Malaurie est grande avec une salle de bains privée attenante. Sûrement la chambre d'amis, pense t'elle. Elle est meublée d'une façon cossue et confortable. En femme méthodique, Malaurie ouvre le lit pour vérifier la propreté et la qualité des draps ; ce contrôle lui donne satisfaction : tout est propre comme elle l'espérait.
Elle se rend à la salle de bains et se met nue devant la glace. C'est vraie, pense Malaurie, je suis encore belle malgré mon âge ; Mes seins tombent un peu plus qu'hier mais ils restent fermes et galbés ; ma taille n'est pas fine mais je n'ai jamais eu une taille élancée ; mon ventre est plus gros que je ne le voudrais mais il ne tombe pas.

A s'examiner ainsi, Malaurie réalise qu'elle a accepté la proposition de Jean, peut-être un peu trop vite.
Pourquoi a t'elle accepté de suivre Jean et prendre cet argent ? Par besoin ? Non ; elle dispose de suffisamment de moyens pour vivre confortablement. Par curiosité ? Peut-être. Par goût du jeu ? Peut-être aussi.

Non, elle n'est pas une prostituée pour avoir accepté cet argent. Ses motivations sont confuses : Malaurie a 45 ans, intelligente, toujours belle. Sa vie affective s'est déroulée sans anicroches notables. Les quelques hommes qui l'ont accompagnés depuis son divorce il y 15 ans ont égayés sa vie en lui apportant des peines et des plaisirs. Une vie ordinaire, en somme.

Malaurie a toujours voulu conserver jalousement son autonomie ; elle veut être une femme libre de ses actes et de ses décisions.
Pourquoi donc a t'elle accepté la proposition de Jean ? D'abord, parce qu'elle a toujours refusé à son ex mari et à ses compagnons successifs de sortir d'une relation sexuelle traditionnelle. Ensuite, parce qu'elle n'en avait pas ressenti le besoin. Enfin parce qu'elle considérait ces pratiques comme dégradantes pour sa personne et inconvenantes pour son image qu'elle a, depuis toujours voulue diriger.
Le temps passant et les expériences de la vie vécues, elle a accepté la proposition de Jean parce que la peur de vieillir l'a poussée à vérifier que sa libido reste active et que son corps est toujours désirable. Malaurie accepte mal de noter chaque jour qui passe le lent déclin de son corps ; son esprit reste jeune, elle veut croquer la vie et risquer tout ce qu'elle n'a pas eu le temps ou l'opportunité de faire.
Jean a su la convaincre. Elle pense plaire à Jean et Jean lui plait. Leur relation de complicité platonique s'est confortée depuis les 2 mois qu'elle rencontre Jean. Cette complicité lui procure du plaisir, pas de l'amour, mais seulement le plaisir de constater qu'elle est restée séduisante. Elle a refusé les avances amoureuses de Jean qui, d'ailleurs n'a pas insisté.
Lorsque Jean lui a dit qu'il voulait l'offrir à des amis, cette idée l'a choquée au début et fait ensuite son chemin. Elle n'a pas dit non ; Pourquoi pas maintenant ? Plus tard, il sera trop tard !
Elle a accepté cet argent pour se dédouaner de toute relation affectueuse et découvrir des pratiques sexuelles qu'elle n'avait jamais abordées ou toujours refoulées.
Sa décision est prise : elle ira jusqu'au bout de l'expérience.

Sa toilette terminée et avant d'enfiler son slip, elle vérifie que la taille de sa toison est proportionnée. Elle ajuste ses bas collants qui rendent ses longues jambes encore plus belles puis s'habille des vêtements choisis. Sa jupe noire la serre un peu aux hanches. Elle doit contracter son ventre pour remonter la fermeture éclair.
Un dernier regard sur sa silhouette lui donne satisfaction. Elle quitte sa chambre après une ultime vaporisation du parfum qu'elle a choisie pour la circonstance, descend l'escalier et se dirige vers la porte indiquée par Jean.

Le salon dans lequel pénètre Malaurie est grand ; Il est meublé de canapés et fauteuils de cuirs bruns. Au centre une longue table basse est encombrée de bouteilles et de verres. Les fenêtres du salon sont occultées par des rideaux qui laissent passer la lumière jaune du soir ; il est presque 17 heures.
Malaurie observe furtivement les personnes présentes. Son regard se porte vers les trois hommes assis dans des fauteuils et qui parlent en riant. A son arrivée, ils se taisent et se tournent vers Malaurie. Ils portent des masques tout blancs, comme ceux des carnavaleux de Venise. Ils paraissent âgés entre 35 et 50 ans. Les vêtements soignés qu'ils portent laissent penser qu'ils appartiennent à la bonne bourgeoisie locale. Cela rassure Malaurie qui n'aime pas les tenues négligées. Son esprit est immédiatement accaparé par l'homme gros vautré dans son fauteuil ; Elle imagine derrière le masque ses petits yeux remplis de vices et cela lui procure un sentiment d'aversion. Malaurie n'aime pas les hommes gros. Un trouble inquiétant l'envahit.
Une femme et Jean, qui ne portent pas de masques, sont debout et s'avancent vers Malaurie pour l'accueillir.

Elle s'apaise en pensant qu'elle a accepté sans contraintes ce pacte avec Jean. Il lui a donné les 1000 euros promis, elle doit maintenant faire face et prouver à Jean qu'elle sait respecter son engagement. La femme parait d'une quarantaine d'année. Elle a les traits marqués. Elle a du être belle, pense Malaurie.

Jean prend Malaurie par le bras et l'invite à s'asseoir sur le canapé faisant face aux fauteuils occupés par les trois hommes. Sans un mot, la femme prend un verre et offre une coupe de champagne à Malaurie. Malaurie boit lentement son verre. L'atmosphère silencieuse lui pèse : Sûrement à cause de l'appréhension de la suite, pense-t'elle. Jean demande à la femme de rester près de Malaurie pour la déshabiller.

Malaurie tente de participer mais la femme lui ordonne d'un geste de rester passive. Elle prend un foulard qu'elle pose sur les yeux de Malaurie et serre fort en le nouant derrière la tête.
Jean l'avait informée qu'elle aurait les yeux bandés pour ne pas voir lequel des hommes la toucherait.

L'inquiétude s'empare de Malaurie en percevant ces inconnus aussi près d'elle. Elle ne les voit pas et ne peut prévenir leurs gestes. Son battement de cœur augmente et son ventre se contracte.
Elle frémit lorsque la femme lui demande de lever les bras pour retirer son chemisier. D'un geste habile, la femme lui retire également le soutien gorge en passant la main dans son dos. Le soutien gorge enlevé, les seins de Malaurie reprennent leur position naturelle, un peu pendants, fermes et de bonne tenue.
Désemparée par la rapidité des événements et ne sachant que faire, Malaurie croise ses bras en dessous de ses seins. Aussitôt, la femme lui prend les bras et les allonges le long du corps.
Malaurie n'ose plus bouger et reste dans cette position, les seins exhibés. Immédiatement, elle pense à son ventre arrondi qu'elle serre, sa poitrine s'en expose davantage.
La femme lui demande d'ouvrir ses mains et de présenter ses paumes, les doigts écartés. Malaurie obtempère en trouvant cette position ridicule ; un malaise l'envahit à exhiber ses seins et offrir ses mains de la sorte.

« Elle a les seins lourds comme je les aime » dit un homme.
« Oui, mais les bouts sont cachés » dit une autre voix plus aigue.
Malaurie est flattée d'être toisée par des yeux inconnus même si elle craint les réflexions désobligeantes sur ses formes. Elle aime le galbe de ses seins mais regrette que leurs bouts soient petits ; une intervention chirurgicale a réduit le téton de son sein droit et de cela, elle ressent une gêne.

Malaurie pressent que l'on s'approche derrière son fauteuil et se raidit. Une main appréhende son sein droit, celui qu'elle aime le moins. Cette main le soupèse et le palpe. Avec la paume, le sein est écrasé. Les doigts s'enfoncent dans la chair et palpent jusqu'aux aisselles. La pression de la main appuie Malaurie sur le dossier du fauteuil. Elle tente de s'équilibrer en relevant ses bras. Un ordre sec lui manifeste de n'en rien faire.
La pression de la main se radoucit et, du bout de ses doigts, le téton est tiré sans violence mais avec fermeté.
Sous la traction, Malaurie exprime une légère crispation qui disparaît aussitôt que les doigts commencent à triturer le téton au point de le faire durcir et sortir de son aréole.
Le plaisir de Malaurie n'est pas au rendez-vous ; seule, l'excitation est présente.
« Elle est facile » dit l'homme qui relâche le sein en s'éloignant de Malaurie.
Cette réflexion provoque la contrariété de Malaurie, d'autant que le bout du sein gauche oublié par la main de l'homme a lui aussi grossi ; elle le sent gros et tendu. Son excitation s'évanouit et le regret d'avoir accepté ce contrat reprend le dessus. Ce qu'elle avait supposé avant ce moment là ne se réalise pas comme espéré : Elle s'est livrée entre les mains de pervers et de vicieux ; ils ne sont pas présents pour elle, mais uniquement pour son ventre, son sexe et ses seins.

Sa détermination à continuer l'épreuve la force à rester impassible.

« Qu'elle nous montre sa chatte et son cul » dit une voix qu'elle n'avait pas encore entendue. Le son de la voix la persuade que c'est l'homme gros qui parle, celui qui lui a procuré de l'aversion dès son entrée dans le salon.
Entendre ces paroles rappelle à Malaurie qu'elle a consenti à être présente au milieu de ces inconnus ; elle s'est préparée à cette situation, elle appréhende d'être traitée comme la débauchée qu'elle n'est pas.

Elle reçoit cette injonction comme un défi, une étape qu'il faut franchir ; après, elle ne pourra plus renoncer. Elle songe à abandonner, à déclarer forfait. Dans sa tête se mêlent des sentiments confus. Mais sa volonté d'aller au terme de ce qu'elle s'est fixée est plus forte. Sa libido a disparu ; elle redevient la femme forte et volontaire qu'elle a toujours été. Oui, elle va accepter, non pas pour eux mais bien pour elle : elle sera plus forte qu'eux et le leur prouvera.


L'exhibition



La femme lui demande de se lever et de se mettre nue.
Pour se motiver, Malaurie se persuade que ce n'est qu'un strip-tease. Elle se lève, descend la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds. Malaurie tente d'écouter les bruits ambiants et ne perçoit qu'un silence oppressant. Son cœur bat la chamade. Instinctivement, elle resserre son ventre qui, selon elle, est trop gros. Les mains un peu tremblantes, Malaurie se défait de son slip. Elle a commencé à retirer son premier bas lorsque la voix de l'homme gros, pense-t'elle, lui dit d'arrêter et d'écarter les jambes. Elle rétablit son bas dans une position qu'elle estime convenable puis laisse tomber ses bras le long de son corps ; La même voix lui ordonne de croiser les bras dans son dos ; Elle se soumet à cet ordre.
S'exposer nue devant ces inconnus lui procure force et insolence. Malaurie a réussi cette épreuve : Elle est plus forte qu'eux.
Sa nudité n'est pas belle comme celle des jeunes femmes qui s'exposent dans les magazines de charme. Elle est simplement sensuelle : les seins sont galbés, les hanches évasées supportent un ventre arrondi, la toison dessine un triangle brun sur sa peau légèrement bronzée et sa chatte se révèle entre des cuisses fermes et des jambes galbées.
L'instant lui paraît interminable. Elle entend des bruits de bouteilles et de verres que l'on remplit. Malaurie tressaille à cause de la fraîcheur qui tombe sur ses épaules, aussi par nervosité, songe t'elle.

Elle sursaute lorsqu'on la prend par la taille pour la positionner à l'extérieur du cercle des fauteuils. Les mains qui l'ont accrochée sont celles d'un homme, devine t'elle, à cause de leurs tailles. « Pourvu que ce ne soit pas l'homme gros ! » espère Malaurie en se laissant guider.
Puis, l'homme se plaque contre le dos de Malaurie qui perçoit les boutons de la veste et le toucher plutôt doux du textile. Malaurie allonge ses bras de long de son corps tandis que l'homme glisse sa jambe entre ses cuisses. Pour mieux sentir la chaleur de son intimité, il écarte les fesses de Malaurie qui se contracte. Le contact des mains chaudes de l'homme lui procure un peu de bien être. Malaurie cambre ses reins, sa fente est maintenant au contact du pantalon. Ce n'est pas l'homme gros qui la tient ; elle le reconnaît aux mains qui sont douces et leurs gestes sensuels. L'homme retire ses mains des fesses de Malaurie et les pose à plat sur son ventre, juste au dessus du pubis. Il presse fort au point que Malaurie est obligée de se maintenir en liant ses mains dans le dos de l'homme.

« Pas le ventre ! » murmure Malaurie.
Et, comme si l'homme avait entendu ce refus, il persiste et en visite toutes les parties. Il introduit un doigt dans son nombril ; il palpe les parties arrondies, il s'attarde sur le bas du ventre en glissant ses doigts dans les plis. Il fait remonter du plat de la main le ventre lourd. Malaurie prend du plaisir à ce massage ; Cette exploration lui procure une volupté qu'elle n'avait pas envisagée provenir de son ventre qu'elle n'aime pas.
Son corps se relâche et accepte les massages de cet inconnu.

Brusquement, l'homme abandonne le ventre de Malaurie et retire sa jambe d'entre les cuisses chaudes. Il se place devant Malaurie, empoigne ses deux seins et la pilote jusqu'au canapé sur lequel il la propulse. La rapidité et la puissance du mouvement ont forcé Malaurie, le souffle coupé, à suivre le mouvement.
« Vous avez raison ; elle est facile, elle mouille comme une impudique. Il faudra lui apprendre à se contenir. », dit l'homme. Et comme preuve, il montre à ses compagnons une trace humide sur son pantalon.

Malaurie entend cette phrase comme un avilissement ; elle avait oublié ses appréhensions et trouvé du bien-être.
Cet homme a surpris son plaisir et il n'en veut pas. Humiliée, Malaurie repend ses esprits et se jure de ne plus s'abandonner ainsi. Ce ne sont pas ces hommes qui vont avoir raison d'elle. A l'avenir, elle se contrôlera et ne laissera plus rien apparaître. Elle est présente dans ce salon sur un contrat qu'elle a accepté, pour subir leurs envies, et c'est bien ce qu'elle se promet de faire en occultant sa propre jouissance.
Du fond de son canapé, elle reprend sa respiration en se massant les seins pour calmer leurs souffrances.
Elle attend ainsi : nue, les jambes repliées, dans la nuit de son foulard.

« Isabelle, mettez lui les bracelets. Ensuite vous lui calmerez ses ardeurs » dit Jean à la femme.

« La femme s'appelle Isabelle » mémorise Malaurie. Les bracelets ? Quels bracelets ?
Jean ne m'avait pas dit !
Dès qu'Isabelle approche Malaurie, celle ci se rebiffe ; elle ne veut pas des bracelets. D'une voix froide qu'elle ne reconnaît pas, Jean lui ordonne d'accepter les bracelets. Il lui dit qu'elle ne peut pas s'y opposer, qu'elle a le droit de crier si elle le veut ; ils lui poseront un bâillon. Il lui affirme qu'aucune maltraitance physique ne lui sera infligée. Il conclut en lui expliquant que les bracelets sont nécessaires pour l'asservir, l'empêcher d'utiliser ses mains et ses jambes et l'obliger à se soumettre à leurs envies, sans aucune obstruction de sa part.

La révolte intérieure de Malaurie est grande ; elle considère cette décision comme une rupture du pacte conclu. Ce n'est pas ce que Jean lui avait décrit ; il lui avait assurée qu'elle serait libre de ses actes et de ses choix.

Malaurie, au milieu de ces inconnus, n'entrevoit aucune échappatoire à la situation dans laquelle elle s'est mise. Elle se tait par crainte d'éventuelles représailles plus dures encore. Son cœur se durcit et se ferme.
Le gros homme déclare que c'est lui qui mettra les bracelets parce qu'il est fort et que ce n'est pas une femme qui va lui résister, surtout pas une pute. Le mot est lâché; ce mot qui humilie, ce mot que Malaurie espérait ne pas entendre.

A la lourdeur de la démarche, Malaurie déduit que le gros homme s'approche d'elle. Il force Malaurie à se lever en la tirant par les avants bras. Malaurie a un sentiment de répugnance dès qu'il la touche. Les mains du gros homme lui paraissent grasses et ses doigts sont courts. Malaurie cède sans résistances ; Elle se tient debout, les bras croisés, ses mains protégeant sa poitrine d'une éventuelle emprise.

Le gros homme passe autour du cou de Malaurie un collier de force pour chien qu'il serre modérément. Il s'accroupit aux pieds de Malaurie pour lui enserrer les chevilles dans des bracelets de cuir équipés d'un anneau d'acier. En se relevant, il constate que Malaurie continue à protéger sa poitrine de ses bras croisés.
« Lâche tes nichons et présente moi tes poignets. », lui ordonne l'homme en tirant sur le collier du cou de Malaurie.
Craignant la brutalité de l'homme gros, elle refreine la peur grandissante qui monte en elle, relâche son étreinte et laisse aller les bras le long de son corps.
« Je t'ai dit de me présenter tes poignets, salope. », lui rappelle l'homme en saisissant l'un des seins d'une main ferme.
« Je vais t'apprendre à obéir. », complète-t'il en forçant la pression de ses doigts dans la chair du mamelon.
Malaurie gémit sous la force de la poigne. Contrainte et meurtrie, elle tend ses poignets. Satisfait, l'homme gros abandonne le nichon et s'applique à enserrer les poignées de Malaurie dans des bracelets de cuir.
Porter cet attirail écœure Malaurie.
Les attouchements du gros homme qui promène ensuite ses mains sans ménagements sur son corps la rebutent ; Il lui tâte les mollets, les cuisses, glisse sa main dans le creux de ses fesses, soupèse les mamelles comme un maquignon le ferait avant d'acheter un bestiau sur le foirail.

« On va la coucher sur la table ; débarrassez les verres » dit l'homme gros. Il a posé sa main sur une des fesses de Malaurie et installé un de ses doigts à l'entrée de son petit trou. Malaurie comprend que toute résistance aboutira à l'introduction du doigt dans son petit. Résignée, elle se laisse diriger jusqu'à la table.

Le gros homme lui ordonne de s'y allonger, sur le dos. Malaurie obtempère.
La table est assez longue pour supporter le corps et la tête de Malaurie. Elle serre ses jambes et les replie. Ses souliers reposent sur le tapis situé sous la table. Instinctivement, Malaurie barricade à nouveau ses seins dans ses bras croisés.
En frissonnant, elle subit l'écartement de ses cuisses par les mains grasses qui l'obligent à découvrir son intimité.
Le gros homme empoigne une cheville de Malaurie et l'attache au pied de la table avec l'anneau du bracelet ; il fait de même avec l'autre cheville.
« Elle recommence à planquer ses nichons. », ergote l'homme en emparant les poignets de Malaurie qui résiste à relâcher son étreinte. Avec excitation, l'homme gros oblige Malaurie à lever ses bras. Il fixe ensemble les bracelets et passe une chaîne entre les bracelets liés. Puis, il tire les bras par dessus la tête de Malaurie et prend soin de tendre la chaîne pour que les bras soient tendus au plus possible. Il attache ensuite la chaîne aux pieds de la table. La traction de la chaîne sur les bras contraint Malaurie à bomber sa poitrine et cambrer ses reins.

Le gros homme juge que cela n'est pas suffisant et décide de lier les bras entre eux pour augmenter la tension. Au contact de la corde qui s'enroule autour de ses bras, Malaurie refuse et se démène. Le gros homme suspend son action et, du bout de la corde, il cravache d'un coup ferme le ventre de Malaurie. Une douleur cuisante envahit Malaurie lorsque la marque de la corde s'imprime sur la peau de son ventre. Son cri douloureux alerte Jean qui intime l'ordre au gros homme de ne pas flageller.
Un sentiment de haine envers Jean et l'homme gros envahit Malaurie. Le souffle court du gros homme l'écœure lorsqu'il se penche à nouveau sur elle pour reprendre sa besogne de ficelage qu'il termine en prenant soin de bien ficeler entre eux les deux bras et ainsi, les bloquer.

Malaurie est maintenant exposée, la tête bloquée entre ses bras tendus, les seins retombants des deux cotés de sa poitrine, le ventre bombé, les cuisses écartées et la toison exhibée.
Malaurie a mal dans cette position inconfortable. La table est dure et froide. Les bras sont comprimés par la corde, la zébrure provoquée par la corde la brûle. Elle serre ses poings pour ne rien dire. Ce n'est pas la douleur qui lui est insupportable ; c'est la posture qui ne cache rien de son intimité et qui l'expose à tous les regards.
Le gros homme estimant son œuvre bien faite enjambe Malaurie. Volontairement, il s'appuie sur le ventre exposé.
Lorsqu'elle ressent le sexe grossissant sous le tissu de pantalon, Malaurie contracte son ventre pour se dérober à cette chose mais le gros homme s'enfonce davantage. Sous le poids, Malaurie soupire et abandonne sa résistance. Les deux mains de l'homme s'approprient les seins ; il descend sa bouche vers celle de Malaurie. Elle sent l'haleine du gros homme, détourne la tête et maintient sa bouche fermée. Enervé par ce refus, il lui dit à l'oreille : « Tu ne perds rien à attendre ; je te la mettrai tout à l'heure quand tu seras chaude. »

La suite prochainement, si vous aimez.


Priss au bal des pompiers



Rencontre avec un charmant pompier.

Ce soir d'été du 14 juillet mes amies et moi décidions d'aller fêter cela au mythique bal des pompiers. J'enfilais une petite robe de satin rose pâle, qui épousait parfaitement les courbes de mon corps, suffisamment décolletée pour laisser voir ma poitrine, et pas trop longue afin de rester très sexy.
Nous entrâmes dans la caserne de notre ville, bondée de monde, une majorité de femmes qui se déhanchaient sur les musiques envoutantes des années 80. Transportées, mes trois amies et moi rejoignîmes la foule et dansâmes des heures. Quelques pompiers entreprirent sur scène un show enflammé sur « Hot Stuff » ce qui nous mit toutes en furie, ils s'effeuillaient petit à petit tels de vrais Pros…
A la fin de ce striptease d'anthologie, le DJ nous lança l'heure Zook, je me trémoussais avec mes amies au centre de la piste entourées par des centaines de femmes quand je sentis un homme me rejoindre dans ma danse, celui-ci se mit derrière moi et prit la cadence de mes hanches, se colla à moi, je sentais une douce et agréable sensation grâce à l'effleurement du satin sur mes fesses, et une vive sensation de chaleur procurée par les frottements que ce jeune homme entreprenait. Nous dansâmes ainsi une bonne heure au moins, puis il susurra au creux de mon oreille « On va dans un endroit plus tranquille pour mieux faire connaissance ? » j'acquiesçai de la tête, il me prit par la main je le suivais sans me soucier de mes amies.
« Ici on sera mieux ! » me dit-il, il m'avait conduis jusque dans une petite salle où se trouvait un sofa, une table et quelques chaises. Nous discutions tous les deux assis sur le sofa quand il posa sa main sur mon genoux me regardant dans les yeux, se pencha pour m'embrasser, effleura doucement mes lèvres, glissa doucement sa langue dans ma bouche afin de chercher la mienne, une fois trouvée il la caressait délicatement, accélérait les mouvements, nos respirations devinrent plus suaves, mon cœur s'accélérait, une vague d'excitation m'emportait, je pris sa main la fis remonter le long de ma cuisse afin que de ses doigts il sente la sensation que son doux et langoureux baiser me procurait.
De son majeur il frottait doucement la dentelle de mon string, l'écarta et y glissa le doigt, il faisait rouler mon clitoris sous celui-ci, je sentais mon clitoris gonflé d'excitation, il caressa alors de ce même doigt mes lèvres gorgées de plaisir, humides de cette sensation plus qu'agréable, il enfonça son doigt dans mon intimité et entreprit un doux va et vient. Tout en m'embrassant dans le cou, il fit glisser les bretelles de ma robe afin de laisser mes seins libres, il se pencha et prit alors mon téton durcit d'excitation en bouche, il le caressait de sa langue. Cette sensation, alliée à celle de son doigt dans mon intimité, était plus qu'intense, la vague d'excitation était encore plus forte.
Je glissai mes mains sur son pantalon, caressai lentement la bosse formée à l'intérieur de celui-ci, le déboutonnai en tirant sur son boxer moulant, je laissais son membre long et dur s'échapper, je me penchais l'obligeant à arrêter de lécher mes seins puis couvris de baisers son gland, lécha ce membre de haut en bas afin de le lubrifier pour qu'il glisse au contact de ma bouche, je le pris en bouche enchainant les vas-et-vient et jouant de ma langue sur la collerette de son gland. Je le sortis de ma bouche, me redressai tout en continuant à le branler et lui dis à l'oreille « J'ai envie que tu sois sauvage. ». Il me regardait à la fois étonné et excité par ce que je venais de lui avouer. Il me prit alors par les cheveux, appuyant sur ma tête, glissa sa rigidité dans ma bouche et l'enfonça profondément dans ma gorge, j'étouffais presque mais ça m'excitait, tout en me guidant avec sa main il m'obligeait à le sucer de plus en plus rapidement. Il tira sur mes cheveux de façon à ce que je me redresse, se leva, se pencha sur moi puis m'attrapa par les hanches, me souleva et posa mes fesses au bord de la table. Il écarta mes cuisses ôta mon string trempé de citrine, s'enfonça en moi, accélérant les mouvements de son bassin, cela restait trop gentil à mon goût. Je lui demandai alors « Baise moi plus fort, dis moi des cochonneries ! », il me sourit et me dis « Ah oui, t'as envie que je te prennes plus fort petite salope ? » tout en accentuant ses coups de reins qui se faisaient rapides et brutaux. Il avait compris ce que je demandais. Cette ardeur me remplissait de plaisir, cette sensation de ne plus être la petite fille sage et de devenir la salope que je n'osais être.
Ses mouvements secs et brutaux procuraient en moi un tel plaisir que je ne pus retenir les gémissements d'un orgasme qui me prenait le bas du ventre et remontait le long de mon corps en un frisson de plaisir. Je ne gémissait plus, je criais ! « Oh oui baises moi, fais de moi ta chienne ! », « Oh oui petite salope, tu aimes quand je te baise. », son membre se gonfla dans mon intimité, je sentais ses contractions, il fermait les yeux, ouvrit la bouche et lâcha un long et fort râle de plaisir.

Une salsa chaude


une soirée de danse latine devient très érotique

Entrant seule dans la salle de danse latine privée Que rico, j'enlève mon manteau pour dévoiler mes épaules dénudées et mon décolleté à donner appétit. Portant un petit chandail blanc collé au corps, une jupe noire légère au look latin, un thong noir et des souliers de danse brésilienne à talon haut montrant mes orteils vernis d’un rouge vampire assortis à mon rouge à lèvres.

Je me dirige vers le bar pour chercher quelque chose à boire et ensuite, je fais le tour de la salle pour trouver un danseur expérimenté, qui me mettra en valeur. Un homme chaud, fort, dégageant une sensualité et sexualité envoûtante ou une jolie jeune femme, sexy, sensuelle avec des rondeurs digne d’une déesse, aimant danser avec d’autres femmes brûlantes.

Lorsqu’à 23:00 les portes se ferment, le maître de la soirée nous informe du seul règlement de la maison, qui consiste à n’y avoir aucune pénétration. Ensuite, nul besoin d’extazy pour nous émoustiller, quand la chaleur se met vite à grimper et les frissonnements des bouffées de chaleurs s’enroulent tout autour de nos corps. Les lumières laissent place à un éclairage tamisé, vaporeux et la musique commence tranquillement à s’élever pour tous nous envoûter.

Les corps commencent à se mettre en mouvement, la salle est assez grande pour y contenir une soixantaine de personnes, des lampes abaissés sont disposées une peu partout, au dessus de la piste de danse, du bar, des tables, des meubles. Il y a des divans tout autour de la salle, là où ces déesses font des démonstrations de danses des plus lascives. Les déesses se trémoussent sous les yeux d’hommes et de femmes, glissent leur mains dans leur cheveux tout en douceur puis ensuite, sur leurs seins voluptueux en érection pour glisser sur leurs ventres, hanches et finalement, une main sur leurs cuisses et l'autre qui très sensuellement frôle à répétition leurs perles.

Assise au bar, je délecte un savoureux verre de liqueur Grand Marnier. D’un coup d’œil, je fait un tour d’horizon, je remarque un bel homme d'une superbe peau couleur café d'environ 30 ans assis a 2 bancs de moi a ma gauche, qui porte une chemise à manche courte rouge vif et un pantalon noir. D'un suave regard, il pose ses yeux d’un noir secret sur mon corps. De mon regard à la fois aguichant et envoûtant, je frôle ma main droite sur la courbe de mon sein droit des plus voluptueux, qu'il voit de mon décolleté. Dans ses yeux, je vois qu'il me désire ardemment et ce dans tout les sens du terme. Je pose alors ma main gauche sur le bord de ma jupe et très lentement les jambes croisées, je la relève sur le coté, pour laisser entrevoir ma cuisse et un soupçon de peau de ma fesse. Alors qu’il me regarde, encore envoûté, je prend une légère gorgée de ma liqueur et lui fait un clin d'oeil.

Cet homme m'observe attentivement! Aussitôt que je fini de boire mon verre, il se lève, marche vers moi et me demande si j'accepte de danser une merengue avec lui. Je lui réponds positivement. Suite à ma réponse, il me baîse la main et je m'envole vers la piste de danse. Je dépose ma main gauche sur le coté sous son épaule ma foi musclée. Il prend ma main droite pour se mettre en position. Doucement, il approche une jambe entre mes cuisses, ce que je fais à mon tour. Nos deux corps collés un contre l'autre, bougeant nos hanches ensemble, dans un rythme lascif. Nous tournons en rond, plus la chanson avance, plus je sens son désir monter en flèche dans son pantalon. Il ajoute alors de plus en plus de pression avec sa cuisse qui se frotte avec plaisir sur ma perle, qui me laisse échapper un frisson et une inspiration saccadée. Il me regarde dans les yeux puis m'embrasse avec passion. La chanson se termine et il me dit qu'il espère pouvoir danser à nouveau avec moi plus tard.

Je me commande un autre verre et me dirige sur un des nombreux divans pour reprendre mon souffle. Je suis assise entre 2 hommes. Un noir au début de la vingtaine à ma droite et à ma gauche, un latino à la mi-trentaine. Une jolie déesse latine de mon âge portant une robe bleue ciel, nous regarde tout les 3 et s'approche de nous, se couche sur nous pour ensuite, embrasser ce merveilleux latino d’une beauté exotique. Pendant qu'ils s'embrassent langoureusement, ce jeune adonis noir assis de l'autre coté de moi, glisse sa main délicatement entre les cuisses humides de cette demoiselle, qui ne se fait pas prier pour les ouvrir. Ensuite, il relève le bas de sa robe, pour y glisser sa main sous le string assortie divinement avec sa robe et commence doucement à caresser sa chatte fraîchement épilée et sa douce perle. Les fesses de cette déesse sont entre mes jambes. Je peux sentir sous elle, tous ses mouvements du bassin, qu’ils soient lascifs ou rapide. Je peux pratiquement vivre simultanément son orgasme. Voyant quelle ne porte pas de soutien-gorge, je pose mes mains tout doucement sur ses seins en érection au dessus de sa robe. Puis, elle baisse le haut de sa robe pour faire voir ses jolis seins fermes qui emplissent bien ma main de ce qui me semblent être de taille 36D. Je lui caresse les seins, tout autour puis sur le dessus, tenant ses mamelons entre mes doigts habiles.

L'homme à ma droite dit qu'elle est bien chaude et humide. Je glisse lentement mes doigts tout le long de son corps pour ensuite, lui caresser doucement mais assez rapidement son clitoris pendant que ce jeune adonis noir entre en elle ses doigts. Elle se remet a nouveau à bouger ses hanches en ondulation, alors qu’en duo, nous lui donnons des orgasmes usuccessifs et doublement plus forts puisque l’on caresse sa perle et son point g toute à la fois. Cet homme se lève, alors je me tasse a ma droite, lève délicatement sa jambe pour me glisser entre ses jambes si douces. Notre beau latino aux cheveux bouclés, lui caresse les seins, tout en continuant de l’embrasser langoureusement. Je me penche entre ses cuisses, glisse ma langue chaude entre ses lèvres mielleuses, pour titiller sa perle gonflé par tout ce plaisir reçu auparavant… je tourne ma langue autour de sa perle, sans oublier de lécher avec appétit et douceur, le long de ses lèvres tout autant gonflées. Alors que je glisse deux doigts dans sa caverne au trésor mouillée tout en léchant ses pétales, le jeune adonis noir se glisse derrière et entre en moi un et ensuite deux doigts, pour me caresser ce point tant recherché qu’il découvre si facilement. Une chaleur m'enveloppe et je suis foudroyée par de multiples orgasmes électrisants. Il boit tout ma liqueur qui émanent de moi, pour ne laisser aucune traces en glissant sa langue a l’entrée de mon antre.

Je vais à la salle de bain me rafraîchir. Un homme avec qui j'ai déjà eu des relations des plus intimes, me prend par la main et me porte jusqu'a la piste pour danser une salsa des plus chaudes. Il me fait tourner dans tous les sens, colle son corps contre le mien, me prend par la taille pour me faire pivoter en arrière, en faisant un cercle. Il agrippe ma jambe gauche et la retiens sur sa hanche, me fait courber le dos en arrière, la tête touchant presque le sol, glisse sa main de mon cou jusqu’entre mes seins. Repousse ma jambe pour me faire relever et tourbillonner. Comme la chanson se termine, mon cœur bat a toute vitesse et je glisse ma main entre ses cuisses, palpant son sexe durci et l'étreint en toute sensualité.

De retour sur un des divan, j’y entrevois sur celui d’en face, 3 déesses assises côte-à-côte suivies d’un beau latino qui caresse simultanément les seins de deux femmes et qui se délecte du dessert caché sous la jupe de la femme du milieu. Les femmes s’échangent les places pour pouvoir profiter au maximum de cette langue aventureuse. Un doux écho d’halètement souffle dans l’air suave de la grande pièce. Toutes les déesses sont en extase.


Plus tard dans la soirée, je vois cette déesse d'une beauté à couper le souffle! Je me colle à son dos, enfile mes bras au dessus de ses épaules et dépose mes mains sur la poitrine généreuse. Elle se penche et se retourne, mon corps entier effleurant le sien, nous ondulons nos hanches, touchant nos corps en feu. Dès que la chanson de termine, elle laisse place à une chanson afro-cubaine. Un bel africain s'avance vers moi pour danser. Nos corps bougent aux battements et au son de la musique qui déborde de sexualité et sensualité, envoûtant totalement nos corps. Nous répondons pleinement à la musique. Son sexe contre mes fesses, ma main derrière son cou, produisent un mouvement de va et viens.

La soirée s'achève, nos corps et nos dessous sont tous humides. Il fait tellement chaud dans la salle. Tout le monde se cherche quelqu'un pour finir la nuit au lit. Deux magnifiques adonis et deux gracieuses déesses, s'approchent vers moi, me disent qu'ils m'ont tous vu danser d’un érotisme quasi interdit. Cet homme couleur café du bar qui fait partie des quatre gens, me raconte qu'il souhaiterais que je danse et me déhanche pour lui sur son sexe qui mon dieu, déchire presque son pantalon tellement il est long et gros. J'accepte avec plaisir de les joindre. Nous allons chez une des femmes, faire l'amour jusqu'a l’aube.


Le mauvais cuir



Un endroit glauque, une atmosphère feutrée et étrange, des voix polyglottes...

Femme de port (1ère partie)

1) Le mauvais cuir

J'ouvre les cuisses. Le cuir de ce fauteuil anglais ne me plait pas, de la mauvaise qualité certainement, quand le revêtement colle à la peau, c'est que le cuir est mauvais. D'ailleurs, ce fauteuil... Il me fait penser au canapé de mes beaux-parents, du simili aussi somme toute, avec des espèces de pieux qui le traversent, pour presser et oppresser, bien serrer la bête, avec le dossier haut donc le regard hautain, d'un bon maintien il est vrai sur les cotés mais des accoudoirs évasés, évasifs... alambiqués... Je n'aime pas ce fauteuil, d'autant que l'on y est mal assis, c'est çà le pire ! On y joue et on y glisse, on y gagne à être vu mais les maigres moyens de la compagnie ne doivent pas nous permettre de faire mieux :
On a choisi l'apparence plutôt que l'efficacité...
"Y'a pas qu’chez nous ! " j'entends dire... Moi, je me contente du style, c'est mon outil de travail... Faut dire aussi...

J'ouvre les cuisses. J'écarte encore un peu plus pour découvrir cette fente mystérieuse. C'est à ce moment là généralement que le silence est d'or. Juste quelques secondes de gorges nouées et de souffles retenus, juste un instant avant que ne monte le bruissement salvateur, la délivrance qu'ils attendaient, le Mmm ou le Ahh qui les libèrent. Après, la tempérance fait que, ce lieu qui les ignore, les devine confus et impudents, enfermés dans leur paradoxe, à la fois heureux d'être ici et honteux d'être là. Chaque soir c'est un jeux différent pour ces semblables, l'atmosphère s'alourdie au gré de leurs humeurs mais ce qu'on subodore se révèle toujours être à l'identique : les hommes se distinguent et se ressemblent tous !

Déjà, avant que le rideau ne soit levé, la lumière s'est éteinte, ne reste qu'un tamisé rouge et jaune à peine perceptible. Juste un rai de gaieté dans ces velours ridicules et sinistres, ridiculement sinistres. Il ne faut pas qu'on les voit. Il ne faut pas qu'on les reconnaisse. Pas de faux pas SVP !
Non, ces gens là, ils passent dans la rue, par hasard, dans le quartier chaud, entre la froidure du port et le centre déserté, la nuit est claire, le Dam n'est pas si loin, les dames sont si proches, ils découvrent l'affiche, leur regard s'est égaré, ils jettent un oeil aux alentours des fois que, ils respirent un grand coup et ils rentrent. C'est une victoire, ils ont osé... Tu vois c'était facile, puisque tu es là... Sans faire exprès... La caisse est discrètement placée à l'abri par la porte auvent, tant mieux, les autres n'en sauront rien. En tremblant un peu, ils cherchent le billet qui donnera le ticket qui donnera la suée - du moins l’espèrent-ils -, le sésame est cher mais on ne peut s'en priver, puisqu'on est là, çà fait tellement longtemps qu'ils en avaient envie... , et puis au diable l'avarice, demain sera un autre jour...
Ils ne sont pas seuls et çà, çà les embêtent, mais ils ne se voient pas, ils ne se reconnaissent pas, pas de faux pas jusque là, alors ils cherchent dans ce rouge pompeux, la meilleure place pour voir sans être vu - une reconnaissance près de l'allée centrale - on ne sait jamais, mais tout est pris, il faudra se résoudre à s'asseoir juste au bord, l'estrade est à un mètre, tant pis, on verra bien mais les autres aussi . Çà, çà les embête... Mais ils sont là à " l'insu de leur plein gré " ... Destin quand tu nous tient...

Ma main descend lentement le long du corps, elle s'attarde sur le téton, il se durcit encore un peu s'il le pouvait - il aime, le téton - mon ventre attise la caresse, mes doigts s'égarent vers le nombril, un trou qui n'en est pas, il n'y à rien à combler alors, alors, puisqu' ILS attendent, puisqu' ILS le veulent, je ne peux pas les faire languir davantage... Et moi non plus : ma main se perd entre mes jambes...
Oh, bien sûr, le geste est récurrent, mais on ne s'y habitue pas. C'est une perpétuelle sensation de découverte, la caresse est banale et le plaisir unique. Il y a mille chemins, il y a mille espoirs, il n'y a qu'une solution pourtant : l’Évidence.
Les " PAR 15 " m'éblouissent. Ces satanés projos me cachent tout ces "je suis là par hasard "... Du moins après le troisième rang. Je les devine, le regard probatoire, s'interrogeant ainsi un peu sur mes capacités et beaucoup sur les leurs, je les sens, leur transpiration coupable les imprègne, je les touche à ma façon , virtuelle que j'aime être, ils sont tendus pour ne pas dire crispés, réels, eux.

J'appuie sur le bouton, celui qui allume la lumière dans leurs yeux. Moi, les rayons me transpercent, m'accablent et me chavirent. Mes doigts se réservent à l'envie; seul, tout seul, l'index de la main gauche trace sa ligne de plaisir sur mes lèvres endormies, le réveil n'en est que plus charmant.
La main droite en soutien, je relève un peu la jambe, il faut qu'ils voient tout ce que je peux montrer, ils ne doivent rien ignorer de mon intimité, c'est le contrat, c'est mon deal, mon plaisir et le leur, eux pour moi et moi pour tous. L'exhibe est quelque chose de fort. Cela fait peut-être 3mn que je suis nue, attisant leur regard, égayant leur soirée, je suis déjà ailleurs, transportée et prise par... le jeu...
L'excitation s'emballe, tout à l'heure, quand la suite surviendra, je ne serai plus moi je crois, il me semble que je ne supporterai pas ce plaisir démoniaque, et pourtant, à chaque fois, pour eux un peu, pour moi surtout, je recommence.

Je ne résiste pas bien longtemps. Ces orifices mis à l'index, pleurent leur condition. C'est un soulèvement, pas une révolte : juste une évolution. Caresser le clito puis ces lèvres charnues, d'un doigt ne suffit plus ! Il me faut du renfort pour tout ce réconfort. C'est donc la main entière qui s'active à mon con ! Je n'amuse pas l'terrain, je branle la galerie ! Les doigts se livrent à des caresses sans concession, passant et repassant le long de l'entrecuisse, appuyant leur attaque par de brefs attouchements clitoridiens, jetant leurs forces au centre de mon corps, oui, là, juste là, où le désir est le plus fort : un majeur courageux s'enfonce dans mon vagin, j'y laisse quelque énergie mais aussi bien des râles. " La foule " beugle avec moi... en catimini...
" Un con est un être délicat et fragile, la preuve, il pleure quand on l'caresse ! "
J'ai le con qui pleure, mais ’ y’a tout ces cons qui rient, qui ahanent et qui suintent. C'est pour eux que je suis là et je veux du respect !
Certain en ont, du respect... et d'autres choses sans doute... comme cet homme ici, au premier rang, à un mètre de l'estrade, sur ma droite, comme il a l'air gêné ! (C’est pour mieux t'apitoyer mon enfant), comme il parait surpris ! (C’est pour mieux t'émouvoir ma chérie) et comme il a l'air petit ! (C’est pour mieux te pourfendre, quand tu sera à lui)... comme il paraît... je parais... comme il a l'air sincère... et coquin...

Je ne vois plus que lui qui ne voit plus que moi. Nos regards se sont croisés, nos destins quelque part.
Malgré les projecteurs, je distingue ses yeux bleus ou verts je ne sais, tendance de braise en tous cas, tellement le feu s'allume à chaque échange. Ses cheveux poivre et sel trahissent sa quarantaine, il a aimé la vie comme la vie l'a détesté peut-être, quelque chose le caractérise mais je ne sais pas quoi encore, je l'ai remarqué, lui, quidam expiatoire. Il est venu- le hasard ? - j'étais là - de la provocation ? -
Il me touche avec ses yeux, je lui donne avec bonheur, je me tourne un peu vers lui -excentré -, pour qu'il savoure ce moment de partage, faute professionnelle, j'ignore les autres pour m'attirer à lui et je ne devrais pas, c'est pas le contrat, pas le deal...
Il ne dira rien, mais je sais qu'en son for intérieur il bout assurément.

Les autres - ILS -, m'invectivent en silence. Je connais tous leurs mots, je sais toutes leurs rancœurs, pas contre moi, contre ILS :

" Humm, Salope ! C’est çà vas-y caresse toi le bouton, mets toi un doigt dans la chatte, oui voilà, continue, t'aime çà ma chienne hein ? ; N’hésite pas, je veux un doigt dans l'cul maintenant, tu vois qu'çà fait du bien, ahh la pute si j'pouvais monter sur scène qu'est ce que j'lui mettrais, ah la vache, elle est insatiable cette gonzesse... "

Puisque je sais tout leur discours, j'anticipe mes mouvements. Je me lèche les doigts que j'enfourne à nouveau, j'ai le regard coquin envers ceux que je vois, je leur jette mon corps en pâture, il y a les regards coquins de ceux que je ne vois pas, ILS ne me jettent pas la pierre, ILS en redemandent :

" Allez vas-y branle toi bien Salope ! Écarte bien les cuisses que tout le monde en profite, ha çà a l'air de te plaire de te doigter en public ! Continue ma petite pute adorée tu vas y arriver... voila, comme çà, encore, sois pas timide ( !), Mets toi les deux doigts, oui, dans le fion, c'est çà, et ton autre main, voila, parfait, dans le con, bah dis donc ! Si avec çà tu jouis pas ! Oh putain de salope de chienne !!! "

C'est vrai, je suis au bord de la jouissance. ILS l'ont bien senti. Mes index, majeurs et compagnie, fourragent à qui mieux mieux, tous mes trous investis, je vais bientôt me livrer, trop de cyprine a coulé, je dois sortir vaincue ou me rendre... à l’Évidence, Il faut que je me calme, ou que je n'explose, ce n'est pas dans le contrat çà, quel dilemme !
Je suis trop chaude pour réfléchir et mon temps est compté (si si ! ), bientôt il sera trop tard, je dois prendre la décision maintenant, en pro, comme une femme de caractère, comme une pute qui sait se tenir, comme une Salope d'envergure, le S majuscule SVP, comme une grande dame !

Alors ?

Alors, j'entends le public dispenser ses humeurs au travers du théâtre, c'est comme un râle unique, commun et solidaire, comme un, ... et solitaire, avec moi çà fait deux, çà fait d'eux des gens bien quand on y pense, le partage çà fait du bien en passant...
J'ai choisi la tautologie, m'abandonner à la victoire: je jouis, je jouis, je jouis !
ILS entendent cette jouissance et ils me la renvoient, boomerang. J'exclame leurs plaisirs, ils n'attendaient que çà les salauds !, ils en réclament encore, il faut que je leur donne une suite pour assouvir toutes ces privations, ces angoisses et ces haines; Ce râle est inhumain, mais c'est çà qu'ils voulaient, jeter toute cette souillure qu'ils croyaient seuls à détenir : ils se disaient mauvais, ils découvrent que c'est bon, être ensemble, à jouir comme tout le monde, c'est une communion entre moi et eux... je sais qu'ils apprécient ce moment solennel et je ne me fait pas prier, à deux doigts du blasphème, le pilori non merci... ni même le pilon... je libère toute les âmes de leur mauvaise conscience et la mienne en même temps ! Dieu que c'était bon !

...

Je m'abandonne ainsi, quelques instants sereins, qu'ILS reprennent leur souffle et que je reprenne "mes esprits ". Dans cette lascivité temporaire, je me sens un peu conne d'avoir joui sans retenue comme une amatrice, putain je suis une pro quand même ! J’aurais dû ! J’aurais pu ? En tous cas je sais qu'eux au moins n'ont pas trop de regrets, leur ticket chiffonné dans le fond de la poche, cela valait la peine que je leur ai vendu.
ILS attendent la suite. Et si c'était fini ? Après tout, ils m'ont vu... me dévêtir, m'asseoir sur ce mauvais cuir, me caresser sans complexe ni raison... ILS m'ont vu de leurs yeux, à un mètre de l'estrade, presque à pouvoir me toucher, et surtout, surtout ! ILS ONT JOUI COMME J'AI JOUI, ENSEMBLE ! ON A JOUI !
Cela devrait suffire non ?

Lui, il reste là. Il a apprécié sans doute la prestation que je leur ai offerte, mais il se doute bien que le spectacle ne s'arrête pas là. Peut-être un peu plus courageux, sans doute un peu plus inconscient ou même encore plus déluré, il a dû s'attarder sur les affiches de l'entrée. Il a vu ces quelques clichés de la scène à plusieurs, des photos racoleuses certes mais combien excitantes, le quidam ordinaire, pléonasme coquin, ne put se retenir... alors il sait qu'il faut rester.

Au début du spectacle, ils sont un peu gênés. Ils n'osent regarder autour d'eux de peur qu'on les reconnaisse, ils matent un peu quand même, des fois qu'eux reconnaissent... et puis comme dans tous les théâtres du monde, les trois coups retentissent, ils sont " dedans ".
J'ai mon cœur qui bat à 100 à l'heure lorsque je rentre sur le plateau, le lourd tissu s'efface, je suis
" Devant ", je suis à eux.
Au théâtre ce soir, les décors ne sont pas de Roger Harth et Donald Cardwell est au chômage. Minimaliste est mon salon, maximiser est le but du gérant... il y a un fauteuil et une table basse... un miroir et un bar en retrait... cela suffira bien pour faire ce que l'on a à faire...
Je pénètre dans cette antre. Il n'y a pas d'applaudissements, au mieux une légère intention. C'est qu'ici les gens sont discrets vous savez, d'ailleurs il n'y a personne dans la salle, simplement des passants qui jettent un oeil, comme çà... juste comme çà... alors...

Alors ?

Alors, je joue mon rôle de femme rentrant à la maison après quelques courses éreintantes, j'avance d'un pas décidé dans mon pseudo appartement, je pose mes sacs près du pseudo mauvais fauteuil en soufflant largement pour montrer ma fatigue, et comme pour toutes les pseudo ménagères lassées de leur journée , je décide de faire un strip-tease devant le miroir du salon... tout ce qu'il y a de plus naturel en somme, la vie en raccourci, le Théâtre avec un grand T, du Cocteau ou du Goldoni, presque Racine en plus léger... , presque Feydeau en plus sérieux... presque.
Subrepticement, les bretelles glissent une à une. Lentement afin de parfaire ce public, je laisse descendre la fermeture de ma robe. Je suis devant la glace. Mon corps se dévoile peu à peu aux regards indécents, l'étoffe qui me cachait est maintenant à terre, je me découvre pourtant tandis que la chaleur m'étouffe.
D'un profil approximatif, j'offre mon point de vue. Ils me toisent, je me tais, y'a rien d'intéressant à dire. Je parle à l'intérieur de moi. Une voix. Qui m'encourage et qui me tanne ! Un souffle interne, entre la raison et l'envie, l'excitation est à ce prix : Je suis une Salope voyez vous !

Lui, il reste là. Assis près de l'estrade, près du miroir. Je ne l'ai pas remarqué encore. Lui a déjà fait le rapprochement. Il me regarde, que dis-je ! il me pourfend, me traverse et m'ausculte : il me voit peu à peu, prenant chaque images pour les mettre dans sa poche (celle de gauche ), il me devine petit à petit et s'interroge sur la finalité, "être ou ne pas être ", j'expire, çà l'inspire... c'est bien du théâtre...
Mon soutien gorge ne soutient plus rien. Toutefois il faut remarquer qu'il n'avait pas grand chose à soutenir. Maintenant qu’il est sur le rebord du psyché, ballottant et ballot, mes seins se sentent libres comme l'air, j'inspire, lui... expire...
Ne reste que le bas. Les bas et tout cet attirail qui fait de moi une pute. Attirer le mâle, voilà ma raison d'être. Alors, mes ustensiles de cuisine au fessier, je m'accommode, néo-moderne et rétro-silencieuse dans cet accoutrement. Je soulève une à une, les jarretelles qui portent, j'enlève délicatement ces dessous qui m’habillent, j'active la libido de ces hommes perdus, bientôt je serai dévêtue, totalement impudique, soumise à leur vindicte et à leur tutoiement.
Lui, il ne perd pas une miette, il me voit sans détours, presque, il pourrait me toucher, presque, il attends son tour... peut-être... un jour... pas cette nuit...

A SUIVRE...

Le train du plaisir



Une aventure sulfureuse et sans retenue, dans le compartiment d'un train.

Ce scénario écrit à deux est une initiative d’un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d’entraîner l’autre dans son univers, d’exprimer avec ses mots son regard sur la scène.

J’ai ensuite retravaillé le résultat pour redistribuer les rôles, rendre la lecture plus fluide, et l’érotisme plus torride. Bonne lecture …

LUI :

Ce Paris-Bordeaux n'a plus de secret pour moi. Comme d’habitude j’ai évité les heures de pointe et ce soir j’ai la chance de trouver un compartiment vide. Je m'installe près de la fenêtre, dans le sens de la marche, et commence à faire ce que j'aime le plus en ces occasions : écrire.

Au moment où je commence à me détendre j’entends la porte coulisser. Je jette un regard noir vers la personne qui vient me déranger, mais très vite je me ravise et m’adoucit. Elle entre …

ELLE :

Ce voyage m’ennuie. J’angoisse à l’idée d’un trajet dans un compartiment à l'ambiance étouffante, avec des discussions stériles et navrantes, des gamins bruyants, des hommes d'affaires moroses qui pianotent sur leurs portables.

J’attends que tout le monde s’installe et je parcours ensuite les wagons à la recherche d’un havre de paix. Pas simple, mais je trouve un compartiment de huit places qui n’est occupé que par une seule personne, un homme plutôt mignon et non dénué de charme.

Le bruit de la porte coulissante attire son attention et j’aime la manière dont il pose ses yeux sur moi. Son regard me transperce et j’ai envie de lui plaire. J’entre en prenant soin de me mettre en valeur et m’installe près de la fenêtre, face à lui.

LUI :

Elle est élégante et très féminine. Je devine la lisière de ses bas, tenus par de voluptueuses jarretelles, et mon regard plonge dans son magnifique décolleté. Cette femme me plait et je prends plaisirs à laisser vagabonder mes yeux sur son corps.

La nuit tombe doucement et elle regarde le paysage défiler tandis je me laisse envahir par le désir qu’il s’installe peu à peu et que mon imagination fait le reste. Je me vois oser lui donner le texte érotique que je viens d’écrire pour elle. A sa lecture, ses lèvres esquissent tour à tour surprise et satisfaction, puis elle pose la feuille et me lance un magnifique sourire entendu.

Elle se lève, verrouille notre compartiment pendant que mon cœur s’emballe, et d’une démarche envoûtante s’approche pour s'arrêter devant moi, jambes légèrement écartées. Mes mains se posent sur ses cuisses, remontent sous sa jupe, et elle ne bouge pas. J’ouvre la bouche pour dire quelque chose mais immédiatement elle pose un doigt sur mes lèvres, m'intime le silence. Les mots ont été écrits …

ELLE :

Inconsciemment je suis entrée dans le registre de la séduction. Je ne parle pas de drague ouverte mais d'un simple changement de comportement. J'ai pris soin de garder le buste bien droit pour m'asseoir, de croiser les jambes suffisamment haut pour légèrement faire tomber un pan de ma jupe portefeuille.

J'ai envie de le regarder sans en avoir le courage et pour ne pas me trahir je donne l'impression d'être absorbée par le paysage qui défile, l’observe dans le reflet. Quel délice lorsque je le surprends en train de glisser son regard sur mes jambes, sur mes seins. La perception de son désir me donne immédiatement envie d’aller plus loin. « Pourquoi me fait-il autant d'effet ? ».

Progressivement je m’arrange pour en dévoiler un peu plus, très naturellement et sans donner l’air d’y prêter attention. J’aime la connexion sensuelle qui s’installe progressivement entre nous. Je me lève pour attirer son attention et le vois immédiatement réagir pour me suivre du regard. Je n’en demandais pas tant. Je me cambre pour lui offrir une vue imprenable sur mes seins, puis me retourne pour déposer ma valise.

J’imagine son regard sur mes fesses et je prends mon temps, me cambre discrètement un peu plus, me lève sur la pointe des pieds pour hisser mon bagage sur la grille du dessus. Les mains bien relevées au dessus de ma tête, je sens mon inconnu qui se colle derrière moi, pour m’aider. Ses mains rejoignent les miennes sur la valise et tout s’accélère. Je peux nettement sentir la bosse de son sexe contre mes fesses et le moins qu’on puisse dire c’est que je lui fais de l’effet.

Je n’ose plus bouger. Je me fige et j’attends de voir ce qu’il va faire, s’il va oser aller plus loin.

La valise est bien calée et il redescend ses mains doucement en les faisant glisser le long de mes bras. J’ai la respiration coupée et je reste immobile, les bras levés. Je donne l’illusion de vouloir mieux caler la valise mais personne n’est dupe. Sans perdre le contact Il glisse sous mes bras et descend jusqu’à mes hanches : Il sait déjà qu’il a gagné.

LUI :

Comment ai-je trouvé le courage de l’aborder ainsi ? Je sens chez cette femme un magnétisme sexuel qui est en train de me rendre fou. Elle m’excite et elle le sait.

Animé d'une ardeur et d'une audace inhabituelle, je n’hésite plus à la tenir par les hanches et à caler mon sexe contre ses fesses. Sa respiration est maintenant plus forte mais elle semble ne plus vouloir bouger. Doucement je décide de l’entraîner contre la fenêtre pour tester sa réaction … et elle se laisse faire.

Aurai-je pu imaginer une situation si troublante ? Cette superbe femme semble définitivement s’offrir à moi avec indécence. Des envies folles, douces, tendres et sauvages m’envahissent. Envie d'elle, intensément. Envie de sentir le désir monter jusqu'à forcer l’impudeur et l'abandon le plus total. Je veux qu'elle n'obéisse qu'à son plaisir, qu’elle se laisse aller. J’ai la délicieuse sensation que tout est soudain permis et j'entreprends, petit à petit, de l'entraîner dans mes fantasmes.

ELLE :

Je comprends vite ce qu’il attend de moi et je pose mes mains contre la fenêtre, toujours au-dessus de moi. Les siennes sont de moins en moins hésitantes, il prend confiance en lui. Elles commencent à me caresser et je me sens envahie par une excitation que je ne contrôle plus.

La nuit est maintenant totalement tombée et déjà le corail commence à ralentir à l'approche de la petite gare de Bonneval. Doucement je me colle contre la vitre et j’écarte mes mains, paumes ouvertes. Va-t-il comprendre mon désir, mon invitation ?

A priori oui. Ses mains descendent le long de mes cuisses et viennent copieusement se poser sur mes fesses offertes. Je suis en train de perdre le peu de décence qu’il me restait et la chaleur du désir m'envahit un peu plus à chaque seconde. J’ai envie que ses mains ne s’arrêtent pas en si bon chemin, qu’elles repassent par devant pour glisser sous ma jupe et me caresser sans détour. Je veux que mes fesses apprécient de nouveau pleinement toute la qualité de son excitation.

Nous roulons maintenant au pas, le train entre en gare. Nous sommes dans un des wagons de queue et nous seront en bout du quai, mais je redoute son retour à la raison ou l'intervention impromptue d'un inconnu.

«Fermez les rideaux de la porte, je ne bougerais pas ».

J’ai tout juste chuchoté mais Il a entendu. Alors qu'il s'éloigne je regarde le reflet de mon visage. Ce que je peux lire dans mes yeux est particulièrement vicieux, indécent, et lorsque je les ferme je sais qu'ils ne m'apprendront plus rien, je m'offre à lui. Sereine, l’éclairage du quai caresse mes paupières tandis que je m’installe plus stablement contre la vitre, les jambes écartées.
Je me sens prête à céder à toutes ses demandes, sans restriction. Je me projette toutes les scènes possibles et l’incroyable impudeur de certaines. Je me sens prête à les vivre … rien qu'une fois.

LUI :

Je n’ai pas rêvé, ce murmure était bien réel. Je m’exécute et verrouille la porte, fébrile. Je m’imprègne de l’atmosphère torride et empreinte de vice qui règne maintenant dans le compartiment.

Je l’observe de dos, appuyée contre la vitre, et m’attarde sur son magnifique petit cul. Puis lentement je reviens me coller contrer elle. Je pose mes mains sur ses épaules, caresse sa nuque, et descend tout droit jusqu’à son cul cambré que je redessine avec précision.

Le train est maintenant arrêté. Je connais cette petite gare et il est peu probable que nous soyons dérangé. Mon excitation monte un peu plus, mes pensées sont désormais confuses. Je regarde ses mains contre la vitre, ses bras fins et écartés, la cambrure envoûtante de son dos, … sa docilité.

D’un souffle léger, je parcours son cou pendant que mes mains remontent à l’échancrure de son chemisier. Le premier bouton de son décolleté déjà bien ouvert ne résiste pas longtemps, ni le second. Elle ne bouge toujours pas. Devant son inertie j’ouvre délicatement un à un tous les boutons restants tandis que je l’embrasse de mes lèvres humides. Je la respire, recueille son parfum, son odeur. Son chemisier libéré et entrouvert, je sens qu’elle se cambre un peu plus. Peut-être ne veut-elle pas que ses seins soient en contact avec la vitre froide ? Peut-être souhaite-t-elle renforcer le contact de mon sexe entre ses fesses ? Un rapide coup d’œil sur le quai m’indique qu’il n’y a personne, tant mieux.

Je glisse mes doigts sous son chemisier et remonte mes mains pour écarter les pans de son étoffe ouverte. Mes doigts s’approchent de sa poitrine, l’effleurent mais ne la touchent pas. Je découvre dans le reflet de la vitre ses seins qui sortent effrontément de son chemisier et je comprends qu’elle n’ait pas besoin de soutien gorge. Ils sont trop beaux pour être enfermés dans un carcan totalement inutile.

Pour la première fois, mes mains glissent sous ses seins. Je perçois un léger soupir et j’entreprends la découverte de sa poitrine tendue et généreuse, glisse mes mains pour en prendre possession. Apprécie-t-elle mes caresses ? Je me laisse guider par ses soupirs et fais rouler sous mes doigts la pointe de ses seins.

Sa respiration est plus profonde. Elle ondule imperceptiblement du bassin tandis que mes baisers se font plus pressant et mes caresses plus amples. Vient-elle d’émettre un léger gémissement ? J’appuie mon sexe entre ses fesses et la vois se redresser contre la vitre. Que ressent-elle ?

Le train repart lentement. Et si quelqu’un nous surprenait ? Quelle vision aurait-il ? Est-ce raisonnable ? Je ne sais plus, je ne me reconnais plus. Pendant que je scrute le quai qui commence à défiler mes mains remontent sous sa jupe. Nous allons bientôt voir apparaître la gare et j’ai finalement l’impression que cette situation ajoute à mon excitation.

ELLE :

Les gestes de mon inconnu sont maintenant francs. Je n’ai perçu aucune inquiétude quant à mon comportement lorsqu’il a glissé ses doigts dans l’ouverture de mon décolleté et qu’il a commencé à dégrafer mon chemisier. Je suis maintenant seins nus, collée contre la vitre, et une légère secousse annonce le départ du train.

J’ouvre les yeux pour regarder le mouvement latéral du quai et savoir ce qu’il va nous dévoiler, oscille du bassin pour sentir son sexe contre mes fesses. Je le provoque ouvertement, me redresse contre la fenêtre. Je garde les mains écartées pour montrer que je m’offre entièrement à lui, et j’essaie de l’inciter à aller encore plus loin.

LUI :

Mes caresses se font plus aventureuses, plus précises. Je remonte mes mains sous sa jupe et découvre le porte-jarretelles entrevu plus tôt, je visite pleinement et longuement ses fesses et en apprécie la fermeté. Mes doigts glissent le long de ses cuisses pour frôler son sexe mais l’évite habilement. C’est trop tôt, le plaisir de la découverte est trop intense et unique pour me précipiter.

Fébrilement je détache sa jupe pour la laisser glisser le long de ses jambes. Elle me laisse faire, se défait de l’entrave à ses pieds d’un geste franc et sensuel, une jambe après l’autre. Son assurance m’ôte toute hésitation. Je la redresse pour lui retirer son chemisier et le jeter à l’autre bout du compartiment, l’observe ainsi offerte.

Guidés par un désir indescriptible, mes doigts effleurent pour la première fois son entre-cuisses. Je la sens bouger contre moi, à la recherche de ma main. Comment refuser un tel appel ? Mes doigts passent sous la dentelle et mon majeur glisse entre ses lèvres humides, découvre lentement son intimité, s’active. Son souffle se transforme en léger gémissement. Imagine-t-elle à quel point elle m’excite ? A quel point mon sexe étouffe dans un pantalon devenu trop étroit ?

Je continue mes caresses, me laisse guider par ses gémissements, et descends son string le long de ses cuisses pour avoir plus de la latitude dans mes mouvements. Elle ne s’écarte pas de la fenêtre, resserre les jambes pour m’aider dans mon entreprise alors que mon regard est attiré par deux hommes. Ils viennent d’entrer dans notre champ de vision, sur le quai. Ils nous verront forcément. Est-ce qu’elle les a vue ? Veut-elle se montrer à ces hommes avec une telle indécence, nue contre la vitre, obscénement cambrée pendant que je caresse ses fesses, son sexe ?

ELLE :

D’un geste net, il fait tomber mon dernier rempart et m’exhibe les cuisses entravées. Ses mains agissent en conquérantes, elles n’oublient aucune parcelle de mon intimité et mes ondulations doivent laisser peu de place à l’ambiguïté : j’aime ça.

A l’approche de la gare je remarque deux jeunes hommes. Ils sont tournés vers l’avant du train mais ils ne tarderont pas à nous voir. Toujours collée contre la vitre j’attends l’inévitable. J’ai une délicieuse envie de m’afficher avec vice, de sentir en moi les doigts de mon amant pendant que je croiserais le regard de ces deux inconnus. Je veux leur laisser un souvenir, une histoire à raconter, un fantasme pour qu’ils se masturbent en pensant à moi et à ce train. Je veux leur offrir un spectacle d’une poignée de secondes dont ils se souviendront longtemps.

Le premier à me voir interpelle son ami et nos regards se croisent pendant que mon amant, perspicace, glisse deux doigts en moi. Il ne fait aucun doute que le plaisir qu’il me procure peut se lire sur mon visage. Bouches bées, mes inconnus me regarde et d’une main je dégage mes cheveux pour que mon visage soit gravé à jamais dans leurs mémoires, alors que de l’autre je commence à sucer mon majeur en les fixant droit dans les yeux. Je me mets à la place de ces hommes et j’imagine la vision extraordinairement érotique que je leur offre. Malheureusement le quai défile. Je m’aperçois à regret que je vais manquer de temps pour me montrer aussi vicieuse que je le souhaiterais.

Je change d’angle pour mieux exhiber les doigts qui s’activent en moi, jette un dernier regard provocateur, mais ils n’auront pas le temps d’en voir plus, je suis un peu déçue. Ils disparaissent au profit d’un quai vide et d’une gare toute aussi déserte. Seul le chef de gare nous remarque au dernier moment. Il a juste le temps de comprendre ce qu’il vient de voir … ou de rater.

La gare passée, nous longeons de nouveau quelques habitations et je sens qu’il est temps de penser plus activement à mon amant de passage. Je me redresse pour me coller contre son torse et glisse mes mains derrière mon dos pour aller à la rencontre de son sexe. Il nous reste un peu de temps avant l’arrivée, quelques instants de plaisir à donner et à recevoir.

LUI :

Ils nous ont vu. Je décèle dans leur regard ce mélange de surprise, de curiosité, et d’excitation. Un instant, un sentiment de gêne pudique m’envahit, puis je la regarde. Cette situation l’excite. Pendant que mes doigts continuent de pénétrer son sexe, elle joue avec leurs fantasmes, suce son majeur avec sa langue coquine, leur présente son sexe que je doigte avec malice. Quelle impudeur ! Quelle obscénité ! Quelle Vicieuse !

Je la caresse avec gourmandise et envie, l’embrasse dans le creux de sa nuque. Je me délecte à détailler ses seins fermes et imposants, les imagine dans ma bouche tandis que sa main droite caresse maintenant ma queue dans ses moindres détails.

Mes sens et mon esprit ne sont plus guidés que par mon désir de la posséder. J’essaie de rester lucide, de laisser monter doucement l’excitation, et je dois lutter pour ne pas me jeter sur elle et la prendre aussitôt. J’ai envie de sentir sa bouche, de redécouvrir ses yeux. Je la retourne pour plonger dans son regard profond et intense, et j’y découvre le désir, l’offrande, le vice.

Est-elle dans le même état d’excitation que moi ? Qu’aimerait-elle ? Elle me rend fou et je veux qu’elle se libère totalement. J’essaie de découvrir ses désirs les plus érotiques, ses pensées les plus torrides. Je veux qu’elle soit submergée par son plaisir et ses orgasmes.

ELLE :

Je sens son sexe frémir sous mes doigts, l’imagine et le désire en moi. Je veux sentir sa peau contre la mienne et son sexe chaud contre mon ventre. Lorsqu’il me prend par les hanches pour me retourner je le dévore des yeux, bouche entrouverte et offerte. Je mouille mes lèvres avec un regard vicieux et sans qu’il me le demande ou m’y incite, mes mains s’activent pour déboutonner son pantalon.

Je le regarde dans les yeux pendant que les boutons cèdent un à un. Je baisse ensuite son pantalon, son caleçon. Je ne touche pas à son sexe, ne le regarde pas. Je me contente de retirer le string qui m’entrave et le jette à l’entrée du compartiment. Je veux qu’il sache que je n’ai pas peur d’être surprise ainsi, entièrement nue et offerte.

J’ai envie qu’il me guide vers son sexe et qu’il prenne les initiatives, mais à défaut, je m’agenouille seule devant son sexe, sans quitter son regard. La tête relevée je glisse mon visage sous sa magnifique queue et je sors ma langue pour lécher sa hampe. Je veux lui montrer qu’il peut envisager avec moi tous ses fantasmes.

Et ça marche. Enfin il prend ma tête dans ses mains pour me guider. Je glisse son sexe dans ma bouche et referme l’étreinte de mes lèvres, le sens tressaillir contre mon palais et me régale de la sensation que me procure le mouvement de va et vient qu’il commande de ses mains.

Je lève la tête, et croise mes mains derrière mon dos sans dire un mot, avec un sourire…

LUI :

J’observe ses yeux provocateurs et la manière dont elle joue avec mon désir. Quel bonheur de sentir mon sexe entre ses mains expertes. Je la contemple en train de lécher ma queue. Sa langue est chaude, douce.

A cet instant elle sait que je suis à elle et je sais qu’elle en joue. Je la laisse jouer. Je me laisse aller au plaisir qu’elle me procure, ferme les yeux pour focaliser mes sens sur ses délicieuses caresses. Elle me suce à merveille. Mon sexe enserré par ses lèvres, je sens sa langue jouer avec mon gland et je sais que je ne tiendrais pas longtemps. J’ouvre les yeux mais elle ne me regarde plus. Elle est concentrée sur mon sexe et je dévore des yeux les aller et venu de ma queue dans sa bouche. Elle adore ça, ça se voit.

Mon sexe se tend un peu plus entre ses lèvres. J’imagine qu’elle le sent et qu’elle craint que je jouisse trop tôt. Elle doit savoir qu’aucun homme ne peut résister à sa manière experte et gourmande de le sucer. C’est en tous cas ce que semble indiquer son sourire lorsqu’elle se recule pour mieux observer ma détresse et mon abandon, manifestement satisfaite.

Les mains croisées dans son dos elle affiche effrontément ses seins dressés dans ma direction. Je caresse ses cheveux, ses joues, et glisse sur ses lèvres un doigt qu’elle s’empresse de lécher impudiquement. Mon désir n’a plus de limite, je veux la baiser comme jamais personne ne l’a fait avant.

Je l’invite à se relever lentement, et glisse mon sexe entre ses seins pendant qu’elle se redresse. Elle comprend, prend mes fesses dans ses mains et se plaque contre mon corps.

ELLE :

A sa demande je me relève légèrement et commence à masturber son sexe entre mes seins. Mes cuisses me brûlent et la position est délicate. Je continue un peu mon va et vient mais je dois rapidement me résigner à changer de position, m’installe sur le bord de la banquette.

Je l’invite à revenir entre mes seins et mes mains referment leurs étreintes sur son sexe. J’entame de légers mouvements du torse pour reprendre ma masturbation, cette fois bien décidée à ne m’arrêter qu’une fois qu’il aura joui. Je n’attends pas longtemps, les précédents préliminaires ont eu raison de sa résistance. Après les premiers spasmes annonciateurs, je sens son sperme chaud et abondant jaillir. Ma poitrine reçoit sa semence et je le regarde dans les yeux, fière de moi. Il me fixe et je ne résiste pas à l’envie d’en rajouter, à l’envie de me montrer « salope ». J’écarte largement les jambes pour ne plus rien lui cacher de mon intimité et recueille un peu de son sperme pour le porter à ma bouche, le lécher, le déglutir.

Je souris en le voyant abasourdi, prends ses mains pour les poser sur ma poitrine savamment arrosée, et relève la tête, bouche ouverte, sulfureuse …

LUI :

J’observe mon sexe aller et venir entre ses siens, aller jusqu'à sa bouche ouverte. Elle m’excite trop, je vais craquer. Mon regard lui indique que je n’en peux plus et son sourire m’indique qu’elle le sait, qu’elle m’attend. Tout mon corps se tend et je suis envahie par un orgasme puissant qui arrose copieusement sa poitrine offerte.

Et toujours ce regard… cette position obscène pendant qu’elle porte ses doigts à sa bouche pour goûter ma semence.

C’est maintenant à moi de la fixer et à elle se s’abandonner. Je m’agenouille entre ses cuisses, approche ma bouche de son sexe, et découvre les lèvres ouvertes de ma petite vicieuse. Je l’observe entre ses seins recouverts de mon sperme. Ma langue joue avec son clitoris et son regard se fait moins aguicheur. Ses yeux se ferment, son souffle devient court.

J’étale mon sperme encore chaud sur ses seins pendant que je la lèche avec passion et gourmandise. Je veux qu’elle jouisse dans ma bouche, me laisse guider par ses soupirs. Son bassin imprime de lents mouvements à la recherche de ma langue tandis que mes mains écartent ses cuisses pour que mes inquisitions soient plus profondes.

Je glisse une main pour passer avec vice de son sexe à son anus et je sens son orgasme monter, son clitoris se gonfler. J’entends enfin sa voix claire exprimer son plaisir. Ma petite vicieuse est aussi une jouisseuse…

Lentement je me redresse et m’installe sur la banquette d’en face pour l’observer. Elle reste devant moi avec les cuisses ouvertes, le sexe luisant, et les seins maculés de mon sperme. Elle garde son regard provoquant.

ELLE :

Il me surprend. Alors que je l’allume pour l’inciter à ne penser qu’à son plaisir je le vois penser au mien, s’installer entre mes cuisses ouvertes pour me gâter de sa langue. Il est habile et je me laisse emporter, je ferme les yeux pour mieux apprécier les sensations que sa langue me procure. J’oublie tout pour ne penser qu’à mon plaisir, ne cherche plus à contrôler mes gestes. Je laisse mon corps et mes mains s’exprimer selon l’envie du moment. Mon bassin se soulève pour coller mes lèvres ouvertes contre cette langue diabolique et mes mains finissent d’étaler son sperme sur mes seins.

La fine pellicule de sperme entre mes mains et mes seins rend la caresse divine et je regrette de ne pas pouvoir l’étendre à volonté. Je me laisse envahir par le plaisir, me lance à la rencontre du majeur qui vient se frayer un chemin entre mes fesses. Je sens l’orgasme proche et j’ai envie de le sentir au fond de moi.

Finalement je jouis sous sa langue, me détend. Son sexe a retrouvé toute sa vigueur mais nous approchons de notre destination et mon envie a été comblée. Je me redresse pour déposer un léger baisé sur sa bouche et recherche ma culotte. Je ne la remets pas. Je me contente de l’utiliser pour m’essuyer devant lui. Puis je retrouve ma jupe et la remet en fermant volontairement un minimum de bouton. Je ne peux m’empêcher de continuer de l’allumer un peu, remets mon chemisier en le laissant lui aussi particulièrement ouvert sur mes seins.

Enfin je prend mon sac et me rapproche dans cette tenue provocante pour déposer dans ses mains ma petite culotte souillée en guise de souvenir. Je l’embrasse une dernière fois, et remonte jusqu’à son oreille : « merci pour ce magnifique voyage. Mon amant va être ravi. Il rêve de m’offrir à plusieurs hommes et grâce à vous ce soir, je vais accepter ….».

Bien sur c’est entièrement faux, mais je ne déteste pas l’idée de le voir fantasmer jusqu’à la fin de ses jours …

La minute suivante j’étais déjà loin …


Laura et Dany III (Petite séance de photos)


Laura prend Dany en photo dans toutes les positions

Séance photos


Une fois Laura contentée, le scénario que nous avions mis au point ensemble prévoyait que Dany s’occupe de moi, et que Laura prenne de nombreuses photos de Dany dans toutes situations.

Je te remercie Dany, tu as été vraiment divine avec ta langue, Raoul m’avait dit que tu étais très douée, mais je ne pensais pas autant. Mais maintenant il serait temps que tu t’occupes sérieusement de lui, avant qu’il ne craque. Montre moi donc ce que tu sais faire avec les garçons.

M’étant allongé, j’invitai Dany à se coucher à côté de moi. Je dus ensuite lui faire comprendre ce que j’attendais d’elle en guidant sa tête directement vers la partie la plus brûlante de mon anatomie. A nos débuts Dany ne goûtait guère cette façon de faire, mais avec force de patience celle-ci s’y prêtait maintenant de bonne grâce, même si elle n’avalait toujours pas mon plaisir. Elle approcha sa tête et commença à me butiner doucement, mais par un mouvement plus appuyé de ma part elle saisit qu’elle n’avait pas de temps à perdre.

Elle entendit le premier déclic de l’appareil photo alors mon membre était à peine au fond de sa gorge. Elle voulu se reculer mais je maintenais fermement la pression et un deuxième, puis un troisième déclic firent retentir leur bruit caractéristique ... Dany ne chercha plus à retirer sa tête.

- C’est bien Dany, mais ne t’inquiète pas, nous ferons d’autres photos durant tout l’après-midi. Maintenant je voudrais voir ta langue s’activer un peu plus, commence par bien lécher son petit sac et ensuite tu remonteras en prenant bien ton temps.

Dany me caressa les bourses de la pointe de sa langue, puis ce fut à mon membre de ressentir les délicates caresses linguales. Au fur et à mesure qu’elle me câlinait, le nombre de photos augmentait de concert.

- C’est encore mieux maintenant, continue comme cela, écarte bien les cuisses que je puisse également prendre ton corps tout entier, tu es vraiment superbe. Quand Raoul ne pourra plus se contenir, tu n’avaleras pas tant que je ne te l’ai pas dit, j’aimerais faire quelques prises.

A ces mots, je sentis une légère contraction de la part de Dany, mais je continuai à lui imprimer la cadence. Je sentis que je n’allai plus résister longtemps, et en fis part à Laura.

- Tiens toi prête à bien ouvrir la bouche quand tu sentiras Raoul partir, sinon tu en auras plein le visage. Regarde bien l’objectif, et montre que tu es heureuse de le recevoir.

A l’instant même, je ne puis me retenir, et remplis la gorge de Dany. Celle-ci ouvrit ses lèvres du mieux qu’elle pouvait, comme si elle ne voulait rien gaspiller du précieux liquide. Laura en profita pour mitrailler le visage de Dany en gros plan, donnant quelques conseils à cette dernière qui était au bord des larmes.

- C’est bien maintenant tu peux avaler, n’en perds surtout pas une goutte, tu sais que Raoul a horreur de se gâcher inutilement.

Remise de ses émotions, Dany ne pensait pas vivre d’autres vexations, mais c’était sans compter sur l’imagination de Laura.

- Tu t’es bien conduite, Raoul peut être fier de toi, maintenant c’est de nouveau à toi d’avoir du plaisir. Comme tu t’es montrée très douée pour honorer les autres, tu vas à présent nous prouver que tu peux aussi te donner du plaisir.

Totalement découragée, Dany suivit de bonne grâce les conseils et indications de Laura, et commença à se caresser doucement.

- Ecarte au maximum tes cuisses, et montre bien ta féminité que je puisse faire quelques jolis gros plans.

Dany commença délicatement à faire courir ses mains sur son corps, là encore il fallu que j’intervienne pour qu’elle y mette plus de conviction. Ses doigts approchaient maintenant son Mont de Vénus.

- Tu es vraiment très bien épilée, maintenant écarte bien tes lèvres et caresse ton clito avec plus d’enthousiasme.

Le premier doigt qui était entré dans la fente humide, remonta doucement à la recherche du petit bouton. Par sa maladresse, on constata que Dany ne devait pas pratiquer souvent ce genre de sport, mais elle apprendrait vite. Elle accéléra progressivement son geste, et maintenant se lâchait vraiment, comme ignorant notre présence, et se trémoussait au rythme de son poignet. A quelques secondes de la jouissance Laura l’arrêta.

- Avant que tu prennes ton pied, je veux te prendre en photo pendant que tu suces le doigt qui te donne tant de plaisir.

A contre cœur, Dany approcha sa main de son visage et lécha timidement son doigt.

- N’aie pas peur de bien le sucer, tu y prendras vite goût.

Un peu frustrée Dany s’exécuta et regarda l’objectif avec fierté, son regard semblant dire « tu ne me briseras pas. » Vexée dans son rôle de femelle alpha, Laura ne se laissa pas piéger.

- Tu n’as pas encore exploré toutes les faces de ton corps, retourne toi, mets toi à quatre pattes en ouvrant bien tes genoux. Là aussi je veux prendre une belle série de photos, alors écarte bien tes fesses.

Une fois de plus Dany obéit aux injonctions de Laura, et nous montra son joli fessier. Je lui écartai bien les fesses et pris ses mains pour remplacer les miennes. Laura l’obligea à rester ainsi pendant plusieurs minutes, en faisant de nombreux commentaires sur les différentes possibilités du corps féminin.

- Tu vas commencer par te mettre un doigt et active toi un peu, j’ai de nouveau envie de sentir ta langue en moi.

Dany, avec qui je n’avais pas encore pratiqué la sodomie, n’osait pas se caresser de cette manière, elle approcha anxieusement son majeur. Laura s'avança d’elle avec un petit flacon qu’elle avait pris dans son sac.

- Je vais te maquiller un peu, ce sera plus joli pour les photos.

Elle trempa son doigt dans la crème, et commença à badigeonner son petit trou, puis elle le lui enfonça franchement.

- C’est une crème aphrodisiaque un peu spéciale, elle ne devrait pas tarder à faire effet, je l’ai eu par un ami chinois.

L’instant d’après, Dany commença à se trémousser de plus en plus activement. Après son majeur qui maintenant était entré franchement, elle glissa son index pour forcer ce petit trou si étroit. Puis ce fut un incessant va et vient, entremêlés de véritables râles de plaisir. La crème joua bien son rôle, l’excitation annale mêlée à celle de l’exhibition forcée donnèrent un extraordinaire résultat. La prude et timide Dany se caressait comme si sa vie en dépendait, elle se convulsa et jouit en quelques minutes. L’appareil photo n’avait pas cessé son travail une seule seconde pendant tout ce temps.

- Reste à quatre pattes, j’aime bien voir les filles dans cette position, je vais prendre une nouvelle série de clichés de toi ainsi.

Dany qui pensait pouvoir prendre un peu de repos après ce super orgasme, dut encore en passer par les désirs photographiques de Laura.
J’ai de grands projets pour toi Dany, je vais mettre les plus belles photos sur internet, et jolie comme tu l’es, nous n’aurons pas de mal à te trouver de nombreuses femmes en mal de tendresse.
Laura sous entendait implicitement d’offrir Dany à d’autres femmes, et la connaissant bien, je savais qu’elle en tirerait bien un profit quelconque.