samedi 20 novembre 2010

L'eveil de carole - IV : Messieurs je suis à vous ...

Mediaffiliation

La soirée s'annonçait friponne. Elle a été bien au-delà ..

Quatrième volet de ma série. Une étape importante pour moi puisque je vais me dévoiler un peu plus et vous raconter un des moments les plus intimes de ma vie : ma première expérience purement sexuelle avec plusieurs partenaires.

Messieurs je suis à vous ...

Ce soir là nous étions Jérôme et moi invité chez Sandra, ma meilleure amie et accessoirement son ancienne maîtresse. Leur relation avait été sans lendemain mais je savais qu’ils en avaient gardé l’un comme l’autre de bons souvenirs. Ils aimaient se taquiner et se provoquer sans que ça m’inquiète plus que ça. L’ambiance promettait d’être friponne mais je comblais les moindres envies sexuelles de Jérôme et rien m’indiquait qu’une quelconque concurrence pouvait être dangereuse.

Pour dépeindre Sandra le terme le plus adéquat serait « vicieuse », mais nous pouvons sobrement la décrire comme une vraie coquine très libérée. Comme à son habitude, Sandra nous a accueilli dans une tenue particulièrement sexy avec une petite jupe courte et un débardeur moulant outrageusement ouvert. D’aussi loin que je m’en souvienne, elle a toujours aimé être la reine de ses soirées et il n’en a jamais été autrement. Ce soir là cependant j’avais mis la barre beaucoup plus haute et lorsqu’elle nous a ouvert j’ai pu lire sur son visage la surprise provoquée par ma tenue. Une surprise à l’initiative de Jérôme qui avait réussi à me convaincre de l’accompagner entièrement nue sous la petite robe blanche minimaliste que j’avais achetée pour l’une de nos premières soirées intimes. Celle-ci ne tenait que par un simple nœud derrière mon cou et non contente d’offrir un beau décolleté qui descendait sous mes seins, elle dévoilait l’intégralité de mon dos nu jusqu’à l’échancrure de mes fesses.

Sandra semblait sidérée par la vue que je lui offrais et la facilité avec laquelle je portais cette robe. Il y avait de la jalousie dans son expression, une jalousie qui se confirma lorsqu’elle nous présenta ses deux invités surprises peu discrets pour me déshabiller du regard. Autant je la sentais agacée, autant j’étais pour ma part ravie de savoir que Jérôme n’était pas le seul homme qu’elle avait à charmer.

Ce que j’aurais dû prévoir c’est la réaction de Sandra. Dés le début la soirée a pris une tournure inattendue et toutes les occasions étaient bonnes pour qu’elle attire l’attention sur elle. Je savais qu’elle pouvait être très provocante mais jamais je ne l’avais vue ainsi. Les invités étaient aux anges et en tant normal je n’aurais pas surenchéri. Je connaissais suffisamment Sandra pour savoir qu’elle avait du répondant. Seulement voilà, ce soir là j’étais sous l’influence de Jérôme et je n’avais aucunement l’intention de m’effacer devant lui. Je me suis à mon tour montrée allumeuse tant et si bien que très vite le seul et uniquement sujet de conversation a été le sexe. Les amis de Sandra étaient chauds comme la braise et plus le temps passait plus Sandra en rajoutait. Elle allait même jusqu’à faire du rentre dedans à Jérôme devant moi, s’imaginant peut-être que j’allais rester impuissante.

Ce fût tout le contraire. Je suis devenue à mon tour plus provocante avec un plaisir non dissimulé. Féline et tactile avec ses amis je me suis étendue sur ma transformation depuis que j’avais rencontré Jérôme. J’ai annoncé que j’aimais maintenant le sexe pour le sexe, que j’aimais me retrouver dans des situations totalement indécentes, et que j’appréciais de plus en plus me sentir déshabiller ouvertement du regard. Bref je voulais provoquer Jérôme pour qu’il réagisse et mette un coup de frein mais l’effet escompté ne fût pas au rendez-vous, loin de là. Non seulement il n’a pas changé de comportement mais en plus Sandra a redoublé d’initiatives. Chacun de ses mouvements était maintenant un prétexte pour se frotter contre Jérôme et les attouchements jusqu’alors anodins ont commencé à sérieusement déraper. Au point que Jérôme ose glisser devant moi une main sur les fesses de Sandra.

- Te gène surtout pas, passe carrément sous sa jupe pour lui peloter le cul pendant que tu y es
- Ho ..…Ca n’a rien de méchant. C’est juste un geste qui m’a échappé, tu ne vas tout de même pas nous en faire une maladie.
- Non, tu as raison. Tu aurais d’ailleurs tord de ne pas en profiter, elle n’attend que ça.

Ma réaction était plus une pointe de jalousie qu’autre chose mais Sandra a su l’attraper au rebond. Elle s’est placée devant Jérôme, contre lui, et avec un grand sourire qui se voulait provocateur et plaisantin elle a retourné mon rappel à ordre contre moi.

- Mon petit cul il le connaît déjà très bien mais je n’ai rien contre réveiller quelques souvenirs.
- Je n’en doute pas une seconde. Et puis comme ça j’aurais moins de remord à créer mes propres souvenirs avec tes amis.
- Houlà, nous avons fâché madame
- Du tout. Mais je ne vois pas pourquoi je n’en profiterais pas moi non plus ?

Sandra était rayonnante, ce duel jouait clairement en sa faveur. C’est d’ailleurs son sourire narquois qui a fini de me mettre hors de moi. Je me suis approchée de Marc, un des deux amis, et je me suis collée dos contre lui pour faire face à Jérôme et Sandra. Je voulais marquer le coup une bonne fois et montrer à Sandra que si elle insistait elle devait se préparer à aller jusqu’au bout dans ce jeu d’escalade. Je voulais qu’elle comprenne qu’il ne s’agissait plus de jouer l’allumeuse et que Jérôme prenne conscience qu’il jouait avec le feu.

- (moi) Remarque je te comprends Sandra. Avoir un homme à ses pieds pour jouer les allumeuses à loisirs n’est pas désagréable. Il faut juste faire attention à garder le contrôle de la situation si on ne veut pas se retrouver en train de se faire baiser devant sa meilleure amie avec trois mecs dans la même pièce.
- Parce que tu veux me faire croire que si je n’arrête pas de taquiner Jérôme, toi tu mets le feu à l’ambiance pour m’obliger à assumer jusqu’au bout. Tu n’as pas l’impression que ton chantage est un peu gros à avaler ?
- Je pense que tu me connais assez pour savoir qu’il est plus sage de calmer le jeu.
- Justement, je pense suffisamment te connaître pour savoir que tu n’iras pas jusqu’au bout. Je ne te vois pas t’offrir un mec devant ta meilleure amie et ton propre copain.
- Tu n’as pas l’impression que j’ai légèrement changé sur le sujet dernièrement ?
- Il y a une différence entre jouer les provocatrices et aller jusqu’au bout
- C’est justement le message que je suis en train de te faire passer
- (Sandra se colle un peu plus contre Jéröme en me regardant) Nous sommes bien d’accord alors.

Même maintenant je serais incapable de vous dire si Sandra souhaitait réellement faire dégénérer la situation ou si elle n’a réellement pas cru que j’étais prête à me lancer dans un plan sexuel à plusieurs chez elle. J’ai entraîné les mains de marc de chaque côtés de mes cuisses et je les ai fait remonter doucement sous ma robe. J’ai ainsi continué mon ascension pour inéluctablement la retrousser sans lâcher Sandra et Jérôme du regard pendant que je dévoilais mon sexe nu et épilé avec une totale impudeur.

- Jérôme le dernier mot sera pour toi. Soit nous nous arrêtons ici soit ce soir tu devras choisir entre Sandra ou moi, mais pas les deux. Pour le reste aucun autre scénario me déplait et je suis sûre que tes amis se feront un plaisir de prendre part dans un de mes fantasmes.
- (Sandra) Et qui te dit que mes amis ne préfèrent pas se faire plaisir avec moi. Messieurs allons jusqu’au bout : elle ou moi mais pas la deux. Il n’y a aucune raison que cela ne s’applique qu’à Jérôme. Si tu veux Carole tu pourras rester pour voir ce que tu rates.

Le ton était donné et je n’ai pas vu la moindre hésitation dans le comportement de Jérôme. Pire, il a tout de suite sauté sur l’occasion pour relever la jupe de Sandra sur ses hanches et lui retirer son string avant de se coller derrière elle pour imiter la posture que nous avions Marc et moi.

- Au point où vous en êtes les filles ne serait-il pas plus judicieux de passer à l’acte et de voir laquelle de vous deux est la plus douée pour s’attirer nos faveurs.
- (moi) Une autre fois peut-être, mais ce soir je souhaite que le choix soit tranché
- Une autre fois ? D’accord. Si ça vous convient à toutes les deux la perdante de ce soir sera « soumise » à la gagnante pour une autre soirée tous les cinq, chez moi.
- (j’étais allé trop loin pour ne pas enfoncer une bonne fois le clou) Ok pour moi
- Ok pour moi

Tout se jouait maintenant. Même si je ne pouvais pas nier fantasmer depuis quelques temps sur une relation torride à plusieurs, j’en voulais à Sandra d’en être arrivée là. Je devais être la plus rapide pour faire pencher la balance en ma faveur et pouvoir ensuite lui rendre la monnaie de sa pièce à ma manière.

J’ai détaché ma robe pour la laisser tomber à mes pieds et je me suis exhibée entièrement nue devant eux.

- voici ce que je vous propose. Si vous me choisissez ce soir je vous promets de m’offrir à vous trois comme la salope de vos rêves. De me plier à vos désirs et de me montrer vicieuse. Je suis à vous sans aucun tabou et je vous promets ensuite de vous faire profiter de mon privilège de gagnante pour vous offrir Sandra comme jamais vous-même vous oseriez le demander. Je vous promets qu’avec elle pendant la soirée chez Jérôme nous donnerons tout son sens aux mots salope, docile, et disponible.

Sandra n’a pas eu le temps de réagir. Le temps qu’elle comprenne que la situation venait de lui échapper c’était trop tard. Des sourires entendus se sont échangés et Jérôme a quitté Sandra pour me guider au milieu de la pièce.

Rapidement je me suis retrouvée entourée et caressée par six mains pendant que les premières réflexions salaces tombaient. Je devais maintenant jouer le jeu. J’ai naturellement commencé par embrasser Jérôme chaleureusement alors qu’il guidait mes mains pour que je déboutonne son pantalon. Il y avait de l’empressement dans son geste. Je voulais prendre le temps de le caresser un peu mais il en avait décidé autrement et il m’a tourné vers marc. Le message était clair. J’ai répliqué les mêmes gestes avec Marc et mes mains se sont affairées à ôter son pantalon pendant qu’il a commencé à me doigter et que nos langues s’apprivoisaient. Avec Marc j’ai pu prendre le temps de découvrir son sexe nu dans mes mains et de vraiment apprécier le pouvoir érotique de la situation. Ma libido a commencé à intégrer la présence de trois belles queues en érection et je me suis tournée vers Philippe pour unir notre quatuor.

Avec trois hommes qui me sollicitaient je n’ai eu qu’à me laisser guider. Tout s’est enchaîné à une vitesse prodigieuse. Déjà délicieusement doigtée par Marc, Philippe s’est rapidement rabattu sur l’alternative qui s’offrait à lui et il a glissé un doigt dans mon cul en me regardant droit dans les yeux. Je sentais leurs caresses se rejoindre à travers ma paroi vaginale et j’en tirais un plaisir indicible que Philippe lisait dans mes yeux. Il bougeait son doigt lentement en me regardant sans se douter qu’au-delà de sa caresse c’était l’idée d’avoir leurs deux sexes en moi qui faisait briller mes yeux. On en avait presque oublié Sandra.

- Super ma soirée. Maintenant que je suis rassurée sur le fait que tout le monde s’amuse je vais vous laisser. N’oubliez pas d’éteindre la lumière avant de partir.
- Ne soit pas ridicule. Tu es chez toi et à ce rythme il ne va pas me falloir longtemps pour connaître les subtilités du plaisir avec trois mecs. Ensuite la soirée reprend son cours.
- Ha oui ! Alors je te propose de gagner du temps. Assume toi jusqu’au bout et exprime distinctement à haute voix ce que tu attends d’eux pour que je puisses arrêter de tenir la chandelle.

Sandra savait ce qu’elle faisait. Il y a une grande différence entre se retrouver « salope » par circonstance, et s’assumer en tant que telle au point de demander ouvertement à des hommes d’assouvir ses envies les plus inavouables. Il m’a fallu quelques longues secondes pour finir par me dévoiler entièrement sous le regard rempli de défi que me jetait Sandra.

- OK. J’aimerais vous avoir tous les trois en même temps, doux et attentionnés. D’abord dans ma bouche puis ensuite être prise profondément et simultanément. Mais attention, j’aimerais que votre seule préoccupation soit mon plaisir. Vous savoir à l’écoute de mes réactions pour me faire jouir plus intensément que je ne l’ai jamais fait.
- Je te rappelle que tu nous a promis d’être notre salope, pas l’inverse.
- Ensuite Sandra sera libre de faire ce qu’elle veut et je tiendrai ma promesse. Vous pourrez me demander ce que vous voulez et ce sera à votre tour de penser à votre plaisir.

Jérôme fut le plus rapide à réagir et à appuyer sur ma tête pour que je m’agenouille entre eux. Il a passé ses mains dans mes cheveux pour m’attirer doucement contre son sexe et je l’ai aussitôt accueilli entre mes lèvres. La scène était surréaliste. Je suçais avidement le sexe de Jérôme pour lui donner un maximum de plaisir tandis que Marc se masturbait à ma gauche et que je caressais encore la queue de Philippe de mon autre main.

Je me suis ainsi laissée guider d’un sexe à l’autre selon leurs plaisirs, les laissant gérer entre eux le partage de mes douceurs tandis que je mettais toute mon expérience au service d’une seule ambition, les faire jouir dans ma bouche. Je ne lâchais prise que lorsque mon partenaire se retirait pour ne pas jouir trop vite ou qu’un autre me réclamait en présentant son sexe devant ma bouche. Je ne pourrais pas vous dire combien de temps ce petit jeu a duré mais Sandra y a mis fin avant qu’un seul de mes partenaires n’ait eu le temps de jouir dans ma bouche.

- La chambre est prête et le champagne est servi. Si ces messieurs veulent bien porter madame jusqu’à son autel et faire hommage à sa gourmandise.

Je fut portée jusqu’au lit et chacun a pris le temps de se déshabiller entièrement en me regardant. Marc a été le premier à me rejoindre. Je l’ai entraîné au centre du lit et je l’ai installé sur le dos pour me placer à califourchon au dessus de lui. J’ai ensuite vu Philippe qui s’approchait et je l’ai invité à ma manière : « J’ai cru comprendre tout à l’heure que tu avais une envie très précise me concernant».

Je n’ai pas eu besoin d’en dire plus pour qu’il me sourit et qu’il se place derrière moi. Son sexe dur est venu contre mes fesses et il a commencé à m’embrasser dans le cou pendant que ses mains ont englobé mes seins. Sentir deux sexes et deux corps chaud contre vous, vous donne des ailes. Je me suis relevée un peu pour prendre d’une main le sexe de Marc et glisser mon autre main derrière moi pour guider à ma guise le sexe de Philippe.

Ils ont tous les deux été patients. Me laissant me caresser avec leurs membres. J’ai joué ainsi quelques instants avec ces deux magnifiques queues pendant que Jérôme se masturbait lentement a quelques centimètres de mon visage. J’ai fait monter mon désir puis j’ai écarté un peu plus les cuisses pour glisser en moi le sexe de Marc et ensuite me coucher sur lui pour introduire la queue de Philippe entre mes fesses. Philippe a fait le reste, lentement. Il s’est enfoncé en moi et leurs deux sexes se sont rapidement rejoins au plus profond de moi.

Se faire ainsi prendre en même temps par deux queues est une sensation unique et indescriptible. La sodomie et la pénétration vaginale procure des sensations très différentes mais lorsque l’une est mêlée à l’autre et que les deux partenaires sont habiles, c’est purement et simplement délicieux. L’excitation des deux partenaires qui vous entourent décuple vos sens et s’asseoir sur le membre du premier tandis que le deuxième le rejoint au plus profond de vous, procure un plaisir hors norme. J’avais les cuisses en feu à force de monter et descendre sur la queue de Marc pendant que Philippe faisait des merveilles en m’accompagnant profondément et en rythme. Lorsque j’ai joui, mon euphorie a été telle que je me rappelle avoir pensé qu’ils pouvaient ensuite me demander n’importe quoi : je l’exaucerais. Je ne pensais pas être si proche de la vérité à venir.

Mon récit de cette soirée s’arrête là. A ce qui fut pour moi son apothéose. J’ai principalement appris deux choses de cette soirée. Etre comblée par deux queues est une sensation trop intense pour avoir à gérer en plus une fellation. Une fellation demande de l’attention si l’on souhaite qu’elle soit vraiment parfaite pour les deux partenaires et mon goût prononcé pour cette pratique m’interdit de la bâcler, de m’arrêter avant que mon amant ait joui dans ma bouche si tel est son désir. Enfin et surtout, grâce ou à cause de cette soirée, j’ai développé un goût certain pour le sexe à trois. Faire l’amour avec deux hommes de qualité est divin. Un vice qui m’a entraîné dans des situations complètement indécentes. Bien plus que cette soirée.
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